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Synthèse bts droit des réfugiés en France

Dissertation : Synthèse bts droit des réfugiés en France. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  12 Octobre 2018  •  Dissertation  •  2 738 Mots (11 Pages)  •  1 102 Vues

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Questions

Faites une lecture minutieuse des quatre documents avant de chercher à répondre aux questions et prenez connaissance des objectifs placés ci-dessus. Ne traitez pas les exercices sans avoir consulté l’ensemble des conseils pratiques donnés dans les énoncés et dans toutes les consignes qui leur font suite ; n’omettez pas la rubrique «Conseils pratiques», laquelle figure à la fin des énoncés. En première année, la cause principale des résultats insuffisants est le non-respect des libellés et de toutes les consignes qui les accompagnent. Toutes vos réponses doivent être entièrement rédigées sous forme de phrases complètes contenant au moins un verbe conjugué (pas de style télégraphique, pas de tirets, pas de phrases nominales, pas de parenthèses pour y entasser ce qu’on ne veut pas rédiger). Il s’agit d’expression écrite, comme l’indique l’intitulé de la matière.

  1. Analyse des documents et extraction des idées à retenir 32 points

  1. Document 1

Reprenez le premier document et, en une seule phrase, indiquez son genre et le type auquel il appartient. Puis, dans une seconde phrase, et toujours en une seule phrase, cernez son propos directeur, c’est-à-dire exprimez l’essentiel de son contenu. En cas de difficultés, reportez-vous au corrigé des devoirs 1 et 2 où cet exercice a déjà été réalisé.

• Après cette présentation en deux phrases, sautez une ligne pour qu’il n’y ait aucune confusion possible entre le propos directeur et le relevé d’idées.

• Puis relevez les idées ou informations principales du texte, c’est-à-dire toutes celles qui méritent d’être sauvegardées pour la future synthèse. Vous devez reformuler ces idées dans un langage personnel, ce qui exclut tout recopiage du texte initial et toute citation.

Le premier document est une lettre argumentative écrite par Françoise Dumont, rendue publique dans L'humanité, publiée le 17 mars 2016. La présidente de la Ligue des droits de l'homme, envoie une lettre publique à l'attention de la ministre de l'éducation Najat Vallaud-Belkacem, concernant le sort des enfants roms vivant en France, qui se trouvent constamment privés du droit fondamental à l'éducation, notamment en raison d'expulsions répétées.

      Tous d'abord, Françoise Dumont, dénonce les embûches face à la scolarisation que la France place aux enfants roms, alors que le droit à une éducation est stipulé par les conventions internationales et par la législation française qui doit inscrire à l’école tout enfant demeurant sur le territoire national, qu'il soit français ou étranger. En effet, vivant à plein temps dans des situations plus que précaires, ces familles voient ce droit est constamment compromis par des expulsions répétées.

        Deuxièmement, pour accéder à la scolarité les enfants doivent pouvoir évoluer dans un cadre de vie sain. C'est-à-dire, que les familles doivent être recensées, guidées et informées tout au long de leur démarches administratives, ce qui n'est, malheureusement pas, réalisé pas les pouvoirs publics. Les associations bénévoles jouent un grand rôle dans la scolarisation des enfants roms. En effet, la minorité des enfants qui ont pu être scolarisés le sont grâce à elles. Néanmoins, Françoise Dumont, montre que tout ces efforts sont mis à néant par les pouvoirs publics et les services préfectoraux qui s'allient pour expulser les familles sans ce soucier des conséquences de leurs actes. La scolarité et l'évolution des enfants dans le milieu éducatif est alors gâchée.  

    Troisièmement, ces expulsions répétitives sont également dénoncées par les organisations internationales. En effet, ce manquement à l'obligation scolaire est dénoncé au niveau européen. De plus, le fait que cela mette en péril le suivi médical des enfants, tout en fragilisant les emplois des adultes est également constaté. Il est également par un porte parole spécialisé qui si seulement un e infime partie des enfants est scolarisée ce n'est pas forcement un problème parental mais aux municipalités qui craignent l’attroupement, l’installation des familles sur le territoire.

1.2.Document 2

Identifiez de la même façon le document 2; vous consacrerez une phrase à la photographie et à son type et une seconde à l’extrait qui suit et à son type. Puis dans une troisième phrase, dégagez le propos directeur* de l’ensemble du document 2.

• Sautez une ligne après cette présentation.

• Puis, à partir de l’extrait et des éléments photographiés, formulez dans un langage personnel les idées qui peuvent être extraites de ce document. Pensez, dans votre réflexion, à l’éclairage que lui apportent les autres documents écrits.

Le deuxième document est divisé en deux parties, la première, est une photographie illustrative prise par Martin Colombet. Elle est appuyée par un article de presse informatif, rédigé par Marie Piquemal, publié dans le journal « Libération » le 16 septembre 2015. Ces deux documents permettent de découvrir l'histoire d'une famille rom bulgare et plus particulièrement du petit Slavi, 10 ans et Gabi 6 ans, vivent dans une tente sur un trottoir à Bobigny aux alentours de Paris.

       Les photographie et l'article de presse, attirent l'attention sur le jeune Slavi 10 ans d'origine rom bulgare. Il montré que sa famille et lui, vivent dans des situations plus qu’inquiétantes. En effet, ils ont dormi dans une voiture, une caravane et plus récemment sous une tente sur un trottoir dans une zone industrielle. Cette situation est d'autant plus inquiétante car est elle non autorisée par les forces de l'ordre, qui les expulsent à tout moments et les menacent. Malgré les différentes aides dont ils ont pu bénéficier, la situation reste toute fois très dangereuse pour les enfants comme pour les parents.

  1. Faites le même exercice que le 1.1 sur le document 3.

Le troisième document est un reportage informatif, réalisé par Juliette Bénabent, publié dans le magazine « Télérama » le 23 février 2016. La journaliste nous fait part de la visite de la Défenseure des enfants, Geneviève Avenard, dans une partie d'un bidonville à Calais, cet article mettent en avant les conditions de vie désastreuses des migrants qui y vivent et plus particulièrement des jeunes enfants qui devraient pourtant bénéficier de l'aide des pouvoirs publics.

     Tout d'abord, ce document attire l'attention sur la misère ambiante de ce camp nommé « Jungle ». En effet, la Défenseure des enfants s'est déplacée dans le but de dénoncer le désastre dans lequel vivent les migrants et elle vérifie aussi que l’État français remplie ses obligations envers les migrants dont notamment la préparation à l’évacuation.

     Deuxièmement, après un bilan catastrophique des conditions de vie constatées sur place par les collaborateurs de Geneviève Avenard et rapporté au ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve concernant le centre Jules Ferry, des petites améliorations ont été apportées. En effet plus de repas sont distribués, le centre pour femme et enfants s’est agrandi et un projet de construction d’école est en cours, un centre d’accueil provisoire permet de loger plus décemment les migrants devant quitter le bidonville est mis en place

    Troisièmement, la défenseure des enfants craint pour le futur des mineurs car il est forcer de constater que les évacuations ne sont tout de même pas préparées comme il se doit. Enfin il apparaît que les frontières se ferment tour à tour et que l’avenir des migrants de la « jungle » apparaît comme compromis et incertain. 

  1. Faites le même exercice que le 1.1 sur le document 4.

Le quatrième document est un article informatif rédigé par Gisti, publié dans la revue « Plein droit », numéroté 108, en mars 2016. Le document attire l'attention sur des mineurs qui auraient disparus en Europe courant 2016, par le biais des déclarations d'un responsable d'Europol, néanmoins le reste des enfants nécessitent l'aides des structure les plus abordables, cependant les démarches n'aboutissent que très rarement.

       En se conformant aux déclarations du responsable d'Europol, un grand nombre d'enfants auraient disparus après avoirs été récences par les pouvoirs publics. En effet, cette histoire ayant été relayée par les médias, il a vite été trouvé plusieurs hypothèses, comme le proxénétisme, et le kidnapping. Mais là n'est pas le réel problème, la véritable cause est le refus d'accueil sur le territoire national et le manque de protection des jeunes enfants isolés par les pouvoirs publics.

         Deuxièmement, ces enfants ont tous un point commun, ils ont tous vécus dans des situations plus que difficiles pour venir en Europe, ils veulent tous une seule et même chose c'est d'évoluer, avoir un endroit ou se loger, de quoi se nourrir et surtout être scolarisés. Les derniers arrivants patientent dans le but d'obtenir ne serais-ce qu’un rendez-vous avec l'une de ces structures, les autres qu'en a eux, ayant essuyé que des refus, ont du trouver d'autres solutions.

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