E Photojournalisme Etude

eporters dans les agences et les magazines, le but de ces images étaient d’informer de l’actualité mondial. C’était l’âge d’or du photojournalisme, la nécessité d’être au bon moment au bon endroit, et d’avoir de l’expérience pour réaliser une photo frappante pour attirer l’attention du consommateur. Par conséquent ceci avait une influence sur le public.

Dans le document 4, une photographie de Stuart FRANKLIN, intitulé « Homme arrêtant des chars » à Pékin en 1989. Cette image représente un Homme seul face à une colonne de chars à Pékin. Il résiste à la dictature des gouvernants chinois Cette photo est symbolique car l’homme petit face au chars cela dénonce la répression en Chine.

Dans une première partie nous allons montrer que le photojournalisme est un phénomène en évolution. Dans une deuxième partie nous montrerons ses dangers.

Le photojournalisme est en pleine évolution

Tout d’abord pour être un bon photoreporter il faut se trouver au bon endroit et au bon moment, être le plus proche possible lorsque l’action se produit, réussir une photo veut dire faire en sorte qu'elle soit nette et utilisable pour la reproduction. Par exemple comme nous l’avons vue précédemment dans le document 2, quand l’homme sauve l’enfant noir et dans le document 4, l’homme devant les chars.

Afin que l’image soit pertinente le photojournalisme doit réussir à figer l’événement qui se produit devant lui, et faire dégager de cette photo le même sentiment que l’on aurait éprouvé si ont avaient assisté à l’action.

Le photojournalisme a évolué grâce aux nouvelles techniques qui permettent de reproduire facilement des photographies dans les journaux, cela à donc donner naissance à un nouveau métier. De plus la production de photographies a évolué dans le temps en fonction des découvertes technologiques et de l’amélioration des techniques de reproduction et de transmission.

Grâce au développement de la presse, à la fin du XIXe siècle, en France, le photojournalisme a évolué rapidement en diffusant ses photos montrant les évènements mondiaux au sein des différents journaux.

Néanmoins des dangers existent pour le photojournalisme, en effet de nouvelles techniques de reproduction et de transmission d’images ont permis au photojournaliste de diffuser plus facilement ces photos dans la presse et donc de pouvoir montrer à la population les évènements plus ou moins frappants qui se passent dans le monde. Cependant comme nous l’avons dit précédemment le photoreporter doit se trouver au bon endroit et au bon moment lorsque se produit l’action. Mais grâce aux nouvelles technologies, tel que le développement de l’image numérique il n’est plus nécessaire de disposer de matériel spécifique pour pouvoir réussir une photo. N’importe qui doté d’un bon appareil photo, ou d’un téléphone portable de dernière génération peu mémoriser un évènement, un fait plus ou moins intéressant pour la presse, dans le monde, si celui se trouve au bon endroit, au bon moment.

Pour en conclure, seuls les auteurs-créateurs peuvent sauver la presse, car se sont des photographes déterminés. Leurs but est donc de développer leurs photographies au monde entier et