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Communication

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C.

Je ne savais pas qu’elle ne parlait pas, ni de participait à la toilette.

J’ai commencé la toilette, en parlant à Mme C., en lui posant des questions. Celle-ci me « répondait » par des sourires, elle « rigolait » souvent. J’ai eu beaucoup de difficultés à la mobiliser, et j’ai été obligé d’avoir l’aide de l’aide-soignante pour réussir sa toilette.

Durant l’ensemble de la toilette, je n’ai presque pas parlé, mis à part le fait d’annoncer ce que je faisais pour ne pas trop surprendre Mme C.

Je n’étais pas du tout à l’aise dans mes gestes, quand je lui posais des questions ou lui demandait de se pencher, elle me regardait avec un sourire, en « rigolant » un peu.

Par contre, elle gémit beaucoup lors du soin, car elle a surement mal. Je pense qu’elle ne supporte pas.

Sources de difficultés et points à approfondir

• Très grande difficulté à communiquer car je ne sais pas ce qu’elle veut ou ne veut pas.

De plus, j’ai l’impression de lui faire mal à chaque geste car elle grimace beaucoup.

• Aucune mobilisation pendant le soin, don difficulté à effectuer celui-ci seule, sans lui faire mal.

Je ne connais pas assez la maladie d’alzheimer pour bien prendre en charge cette patiente.

J’ai essayé de communiquer par le regard, les gestes, parler moins vite….mais sa réaction reste de sourire en me regardant, et de parfois rigoler (ou grimacer quand elle a mal).

(cf recherche sur la pathologie d’alzheimer)

Je me suis donc demandé comment réussir à communiquer avec cette patiente ?

Car je pense que parfois, elle comprend ce que je lui dis.

De plus, j’aimerai réussir à l’aider dans sa toilette, en la faisant souffrir le moins possible.

Vous sentez-vous suffisamment autonome sur l’ensemble de cette activité pour la réaliser seule ?

Je suis retournée chez elle, la semaine suivante avec une autre aide-soignante. Je l’ai aidé à nouveau à effectuer sa toilette.

Durant celle-ci, je lui ai parlé doucement, en étant très proche d’elle et en lui caressant le bras ou la main.

J’ai essayé de la rassurer, en lui expliquant bien ce que je faisais, et je lui tenais la main, pour créer une relation de confiance.

Lors du soin ce jour là, j’ai senti qu’elle participait un petit peu, qu’elle avait moins peur et qu’elle acceptait que je l’aide pour sa toilette.

J’ai beaucoup apprécié le fait qu’elle soit un peu plus à l’aise, et moi aussi.

Elle me regardait dans les yeux, sans toujours comprendre ce que je disais mais j’ai eu l’impression qu’elle appréciait le soin.

Aujourd’hui, je pense pouvoir retourner seule chez cette patiente, pour l’aider à réaliser ses soins d’hygiène, de confort et de bien être. Je pense que je saurai comment réagir face à cette pathologie, dans ce cas précis.

Par contre, je ne sais pas si je serai capable de la mobiliser toujours seule (car l’aide-soignante était toujours là pour m’aider parfois). (Lorsque l’aide-soignante est seule, l’auxiliaire de vie l’aide).

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