Gestion Des Systèmes Informatiques

de lien (tube)

La notion de lien : elle est centrales dans la notation des processus car c’est lui qui transporte l’information. Permet de lier 2 stéréotypes (1 acteur et un autre icône), le lien définit une relation de communication entre deux entités, il implique un flux dans les relations de travail. Cette info est essentielle. L’info est comparée à un jeton. Le lien est le canal de base. Des jetons peuvent entrer en conflit. Quel type d’info ? Il va falloir gérer la synchronisation des tâches. Cette notion de lien permet de dialoguer en interne dans le work-flow et il sera aussi utilisé dans les relations externes. On peut attacher un texte à un tube (un lien). (Incident, anomalie…) ne pas Comment modéliser ce lien ? mettre de verbe, juste un mot

ACTEUR

Lien ? Dédoublement des liens de l’info du jeton qui circule

?

Information libre (on attache l’info à l’entité) C’est un lien d’attachement. Ne pas éviter l’info attachée

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II. La notion de message

Il décrit l’état d’avancement de l’information. Il permet de symboliser le jeton qui circule dans un tube « un lien » et symbolise les conditions implicites de franchissement de l’information. Demande Client Message (demande) ?

Accusé de réception

Les jetons sont personnalisés par des messages spécifiques. L’extérieur envoie des jetons dans le work-flow. Il existe des règles d’émission et de réception sur les messages. Les conditions de franchissement sont contrôlées. La circulation du jeton n’est pas automatique tant qu’une condition, un événement n’est pas survenu. Le récepteur peut lui aussi conditionner l’arrivée du jeton (exemple : y a pus de place.) Ainsi, on va gérer la grandeur des flux. Les conditions d’émission et de réception peuvent être définies par l’émetteur et le récepteur chacun de leur côté. Ce n’est pas obligatoire d’utiliser le message dans le work-flow qu’à l’extérieur.

III. La notion d’activité

Définition : elle fait référence à celle de traitement de la conception des systèmes d’information et elle constitue la représentation de base d’un flux de travail. Une tâche = une activité de base. Le formalisme : rectangle coins cassés ça représente une tâche.

ACTEUR

demande

Analyser

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On essaie de trouver un verbe explicite associé à (faire par exemple). Un groupe nominal (exemple : analyse de demande). Une activité de base est définie par le domaine ou le contexte.

Exemple : j’aborde la grandeur de la relation clairement et j’essaie de prendre en

considération. J’ai une vue large, peu détaillée. Système dit des poupées russes. Dans les tâches il y a des sous tâches et ainsi de suite. Une tâche peut résider dans le sillage d’une autre. Il faut qu’il y ait une progression dans l’activité. Décrire une activité en soi n’a aucun sens. Une activité génère un résultat qui sera testé par le biais d’une condition de franchissement permettant de passer à une tâche suivante. Nous restons dans le formalisme et l’analogie où le jeton est un message. Entre 2 tâches circule un jeton. Le résultat du travail, c’est un message. Une collection de tâches décrit un processus avec une ou plusieurs tâches en amont, intermédiaire, aval. C’est un processus orienté : une collection de tâches orientées. La notion de processus est réservée à la vue macroscopique des processus, sous processus.

X

X

X à l’intérieur des sous processus, il y a des procédures voire des sous procédures

A l’intérieur du stéréotype, P1 P2

on prévoit un niveau de décomposition supplémentaire.

Si on a un processus, alors, avec cette flèche, on aura plus tard un sous processus qu’on examinera plus tard.

On a la possibilité de communiquer à l’intérieur du diagramme de flux à travers des vues. On peut remonter comme on peut aller dans le détail d’une tâche.

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IV. La notion d’événement

Traduit l’apparition d’un fait dans un flux de travail. Il suit un formalisme précis : Le cercle = cette notation varie en fonction du type de fait enregistré. On ne peut utiliser la notion de processus sans la notion d’événement. On va éventuellement supprimer le message pour simplifier le diagramme. 3 types d’événements : • Evénement début = fait, facteur déclenchant le processus. • Evénement fin = décrit la fin d’action, le processus s’achève. Le jeton est disponible pour un autre processus. • Evénement intermédiaire = fait qui indique qu’on regarde par une fenêtre à l’intérieur d’une tâche et qu’on met en œuvre un autre processus par rapport à un transfert de jeton.

= Cercle fin = début = Cercle épais = fin = Double cercle = intermédiaire Les jetons doivent être contrôlés par les « TIMER » (horloge déclenchant un processus ou l’autre). Message électronique, textuel (lettre, e-mail)

Timer ou horloge utilisé pour indiquer que ce processus est référencé sus condition de timer Décrit le contenu de la règle Change de système d’action Sort d’une séquence d’action pour aller dans une autre

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Optimisation I. Notion de décomposition – recomposition des processus.

? Pour s’assurer de la pertinence de la tâche, on utilise la décomposition - recomposition

Tâche

?

Si tâche non pertinente on fait remonter la tâche d’un niveau (= recomposition) Si on fait descendre la tâche d’un niveau (= décomposition) • Recomposition = tâche nouvelle qui englobe les tâches que l’on veut regrouper

Tâche 4

Tâche 1

Tâche 2

Tâche 3

Une tâche de niveau 1, peut être vu au niveau 0. Avec l’exemple ci-dessus : Tâche 4 = niveau 1 Tâches 1,2 et 3 = niveau 0 • Décomposition = analyse détaillée d’une tâche d’activité circonscrit à l’activité de la tâche en cause (ici tâche 4). Possibilité d’explorer une tâche dans le détail.

II. Notation simplifiée des processus

= je peux descendre à un niveau inférieur = tâche = je peux monter à un niveau supérieur 6

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III. Synchronisation des tâches

RMQ : plusieurs jetons peuvent circuler dans un flux d’activité. (Il faudra définir les priorités et gérer les entrées et les sorties synchronisation) Confier à une structure de contrôle la gestion des flux. • • • Structure de contrôle exclusive. Structure de contrôle inclusive. Structure de contrôle parallèle. problème de

Structure de contrôle exclusive ( « XOR »)

Décision exclusive Le test de décision débouche sur un choix exclusif d’aiguillage qui oriente « le jeton » (=flux) vers une seule direction. Un message en entrée traverse le contrôle pour évaluation. Une seule décision sera active. On le note « XOR ».

PASSWORD XOR TITI ?

Franchissement exclusif Il suffit qu’une tâche d’entrée envoie un message vrai pour que la condition de franchissement soit possible. Le message d’entrée est accepté et le flux de sortie est possible. Tâche 1

XOR COOKIES ?

PASSWORD

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Structure de contrôle inclusive (« O »)

Franchissement inclusif Un signal provenant d’une tâche ou d’un événement