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Schopenhauer

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mme cela. Mais dans certaine situation où toute les circonstances sont réunie, leurs réactions serait à l'image de leurs caractère et ces personnes ne se rendraient même pas compte de leurs réactions. Le caractère serait il donc un outil provenant de l'inconscience Humaine ? Car selon l'auteur l'Homme « comme il a agi dans un cas, il agira encore, si les mêmes circonstances se présentent ». Or il à déjà vécu ce cas, donc il connaît les circonstances et normalement sa réaction. Mais il réagira pareil, et cela inconsciemment car quelque par dans son esprit, une « chose » qu'il ne maîtrise pas, prend le contrôle, son inconscience. Mais de cette non maîtrise de caractère, force que l'homme ne peut modifier, une question importante dans la vie de tout être humain se pose, somme nous libre de nos actes, avons nous un libre arbitre ? La notion de libre arbitre, synonyme de liberté, désigne le pouvoir de choisir de façon absolue, c’est à dire d’être à l’origine de ses actes. Autrement dit, un sujet libre est sensé pouvoir choisir de lui-même ce qu’il choisit, sans être poussé à l’avance d’un coté ou d’un autre par quelque influence ou cause que ce soit. Donc a chaque situation, un Homme devrait avoir un choix absolue sur sa décision. Or sa décision peut être influencé de manière spontané et inconsciente par son caractère. Dans certaine situation où toute circonstance sont réuni, l'Homme n'a pas la liberté de sa décision, et donc toute notion de libre arbitre n'existe pas. D'après Schopenhauer, l'Homme n'est pas libre.

Dans la seconde partie du texte, l'auteur défend sa thèse, qui pour lui est même une vérité , par deux exemples simples qui sont sûrement arrivé a beaucoup d'entre nous. Il montre que même avec des années d’absence, une personne n'aurait aucun mal à reconnaître une connaissances car elle n'aurait rien changé dans ses habitudes. Mais Schopenhauer va plus loin en démontrant que même ceux qui réfutent cette vérité l'applique quand même. Car il se base parfaitement sur le fait que l'Homme ne change pas, du fait qu'ils vont soit se méfier d'un homme qui fut une fois mal honnête ou alors accorder sa confiance à une personne qui le fut digne une fois aussi. Mais nous pouvons aller plus loin dans cet exemple. Analysons la phrase suivante, « sans doute plus d'un niera en paroles cette vérité ». Que nous apprend t-elle ? Elle nous montre, d'après l'exemple, que certaines personnes s'opposent au fait qu'après des années elles sont toujours les mêmes dans leurs habitudes et donc dans leurs caractères. Toute ces choses qui sont inconscientes et souvent incontrôlable. En disant à une personne, après des années qu'elle n'a pas changé, c'est la mettre devant un fait qui peut faire peur, qui suis je vraiment. L’Homme se connaît il lui même ? Sait il vraiment qui il est dans chaque recoin de son être ? Sait il comment il peut réagir a chaque situation ? Cette exemple soulève donc la question de l'identité et de cette recherche de l'identité. Car l'Homme n'a conscience que d'une infime partie de lui même, les autres parties lui étant inaccessible et incontrôlable. Nous pouvons pour éclaircir cela citer David Hume : « Nous ne sommes qu'un faisceau ou une collection de perception différente qui se succèdent les unes aux autres avec une rapidité inconcevable, et qui sont dans un flux et mouvement perpétuel » Mais, une personne extérieur peut dans certains cas apercevoir ces parties inaccessible, quand elle se retrouve devant le caractère de cette personne. Caractère qui n'a pas changé depuis des années. L'Homme ne se connaîtrais donc pas lui même, et il s'oppose au fait que sa propre identité puisse lui échapper.

Pour Schopenhauer, l'Homme est gouverné par ce que l'on appellerais un noyau central qui est son caractère. Or ce caractère ne peut changer d'après lui. Ce caractère qui en quelque sorte soumet l'Homme, le priverait de son libre arbitre. Nous pouvons étudier la thèse d'un autre philosophe antérieur a Schopenhauer qui est Descartes. Pour lui, la liberté n'a rien avoir avec le caractères, mais tout est question de volonté. La volonté autoriserait la liberté seulement a la condition qu'elle soit guidée par la raison : la meilleur illustration de notre liberté n'est en effet pas la décision arbitraire , mais plutôt le choix fait en connaissances de causes. En ce sens la liberté ne se trouve pas garantie par l'indifférence, mais au contraire par la connaissance. Descartes donne donc un définition de la volonté comme faculté de se décider, ou encore de choisir, pour ensuite montrer que ces choix qu'elle permet, n'auront de valeur véritable qu'a la condition qu'ils soient positif et donc

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