Synthèse Sur Camus

c’est Sisyphe qui a vu juste, il a pris conscience de sa condition, de ses limites. Il est lucide et donc il peut surmonter sa condition.

« Il n’y a pas de destin qui se surmonte par le mépris. »

Sisyphe n’a pas d’espoir mais n’a pas de désespoir non plus. Il vit dans le PRESENT -> Il faut imaginer Sisyphe heureux.

Il faut dépasser cette fatalité et quand on est libre, une des seules positions philosophiques cohérente c’est la REVOLTE.

2. La révolte.

Essai - L’homme révolté.

Théatre - Les justes.

Roman- La peste.

Dans l’homme révolté, Camus parle de la révolte individuelle de l’esclave, de l’homme au nom de la valeur humaine : quelque chose en lui mérite d’être respecté.

« Je me révolte donc je suis. »

Dans la peste, la révolte est collective au nom de la liberté et de la solidarité entre les hommes.

« Je pense donc nous sommes. »

Et en même temps que cette solidarité Camus va découvrir une autre valeur ; la responsabilité.

Chacun est responsable de ce qu’il fait ou ne fait pas pour lutter au nom de la valeur humaine.