Corpus

du village. Seulement un seul personnage est présenter dans la dernière phrase de l’incipit, il s’agit du maire dont la courte description d’une ligne lui est mélioratif. Pour le troisième texte du corpus La joie de vivre le cadre spatio-temporel est donner dans une courte phrase « Comme six heurs sonnaient au coucou de la salle à manger. » puis l’on passe directement à la présentation des personnages, les membres de la famille sont présenter tous dans le même paragraphe s’est seulement après la première parole que la bonne est décrite brièvement.

3)

Les textes qui me semble programmer et une action sont Pierre et Jean et La joie de vivre. Pour le roman La joie de vivre les indices qui peuvent nous informer sur l’intrigue a venir est que Mme Chanteau et la petite cousine ne soient toujours pas rentrer et que sont fils est depuis une heure sur la route et ne réapparait pas on peut donc l’intrigue sera de savoir se que fait le fils et ou sont passer Mme Chanteau et la petite cousine. Dans le roman Pierre et Jean l’indice de l’intrigue a venir est « Tu n’est pas galant pour notre inviter, papa », on peut donc penser que Mme Rosémilly est la pour que un des fils la choisisse pour être sa fiancé.

3)

A partir de se corpus de texte on distingue trois formes que peut prendre un incipit de roman, la forme dynamique, la forme statique et la forme progressif. La forme dynamique d’un incipit c’est le faite que le roman commence IN MEDIAS RES donc dans une action déjà commencer que le lecteur prend en cour sans savoir où et quand le récit se déroule comme avec le texte C de se corpus. On dit d’un incipit qu’il est progressif quand on entre progressivement dans le roman avec de longue description comme dans le texte A où l’on décrit un petit village, ses alentours puis on revient dans le village . La troisième forme utiliser est la forme statique qui

4)

Pour créer un effet de réel chacun des textes utilisent une façon différente, dans le texte Le rouge et le Noir l’effet de réel est produit par le faite qu’il y est une description très précise du village, de ses environs et que le bruit des marteaux qui fait trembler le pavé en retombant. Pour le texte Pierre et Jean l’effet de réel est produit par le moment ou le père Roland regarde dans la manne sur laquelle il y a un description précise de l’odeur qui en sort et des poisson qui meurent. Dans le troisieme texte se qui produit l’effet de réel s’est le dialogue qui est banal et donc réaliste.

Dans ces trois textes les marques de l’écriture du réalisme sont que les situations dans les textes sont des histoires « réel » et banale tirer de la vie de tous les jours et que tous se qui est décrit n’est pas inventer mais simplement pris par les écrivains de se qu’ils ont observer de leur voyage et quelque fois de se qu’ils ont vécus.

6)

Pour le texte A l’élément qui suscite ma curiosité s’est le faite que seulement le maire du village soit présenter et l’attente de lecture sur se roman serait que l’histoire est seulement narrer que aucun des personnages ne prennent la paroles directement et que le maire soit le personnage principal. Dans le texte B les éléments qui retienne mon intérêt et ma curiosité sont le faite que Mme chanteau et le petite cousine ne soit toujours pas rentrer de Paris et que le fils ne réapparait pas et on ne sait pas se qu’il fait, l’attente sur cette lecture serait de savoir où sont passer Mme Chanteau et la petite cousine