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Etude des comportements humains : la mémoire

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Par   •  5 Juillet 2023  •  Fiche de lecture  •  1 742 Mots (7 Pages)  •  505 Vues

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ETUDE DES COMPORTEMENTS HUMAINS : LA MEMOIRE

1-A partir de vos recherches personnelles, vous donnerez, en deux pages au maximum, les manières d’améliorer notre mémoire (n’oubliez pas d’organiser votre réponse avec un plan et différents paragraphes.  

PLAN :         -introduction

                - mémoire et alimentation,

                -comment améliorer notre mémoire,

                -conclusion.

INTRODUCTION 

La mémoire est une des composantes de notre cerveau ; elle fait, d’ailleurs, l’objet de toutes les attentions. Elle est fascinante mais inquiétante : quand elle dysfonctionne, quand elle nous échappe.

Elle est au cœur : -des pratiques gérontologiques, -lors du vieillissement normal, -lors du vieillissement pathologique.

Nous devrions parler « des mémoires » et non de « la  mémoire » ; la mémoire dont nous parlons communément est la mémoire à  long terme (MLT), celle qui conserve tous nos souvenirs et qui constitue une bonne partie de notre personnalité. Nous   savons aujourd’hui que nous avons plusieurs mémoires : la mémoire sensorielle, la mémoire à court terme (MCT), la mémoire à long terme (MLT) avec, pour chacune, des spécificités.

Mémoire et apprentissage sont intimement liés, au point que nous pouvons les confondre.

L’apprentissage désigne le processus qui modifie le comportement futur d’une personne, tandis que la mémoire constitue la capacité à se souvenir des expériences passées. De ces faits, plus notre bagage mémoriel est grand, plus  nous pourrons lui greffer de nouvelles informations.

Comment améliorer notre mémoire : en la faisant travailler. La MLT  fait appel à nos habiletés cognitives telles : la perception, le langage, la pensée, les stratégies de traitement, les souvenirs antérieurs, etc.

La MLT possède 3 caractéristiques :

  • Les expériences individuelles entrainent un changement durable du comportement ;
  • Après un apprentissage, elle se caractérise par la rétention d’informations ;
  • La MLT possède des informations internes organisées et construites.

MEMOIRE ET ALIMENTATION*

L’alimentation a une influence majeure sur nos facultés de penser.

Tout ce que nous mangeons influencent notre santé, notre bien-être, notre capacité cognitive à court terme et à long terme. Les besoins énergétiques sont très importants durant la croissance et tout au long de notre vie (remarque : l’alimentation carencée en début de vie –fœtus- va réduire le quotient intellectuel)

Le cerveau utilise 20 % de notre énergie ainsi que 40 % d’oxygène  (aérer bureau et chambre pour les activités cérébrales).

Le cerveau a besoin de fer : en carence une fatigue s’installe, des troubles de la concentration et de la mémoire  apparaissent. Un adulte en manque de fer aura un déficit cognitif.

Pour un cerveau en forme :

Des protéines dans l’alimentation –pour les neurotransmetteurs- c’est-à-dire des acides aminés, base de notre bien-être, tels que les produits laitiers, les poissons, les viande sans graisse.

Du tryptophane – principal constituant de la sérotonine, a un rôle dans l’équilibre des  humeurs- ex : fromage, cacahuètes, lentilles, bananes, noix, tomates.

Les oméga 3 –molécule- se trouvant dans le maquereau, le thon, les sardines, agissent sur le développement cérébral (dès l’utérus), protègent contre les accidents vasculaires cérébraux et l’artério-sclérose.

Les vitamines pour l’intelligence telles que le potassium, le calcium, le sodium, sont indispensables au bon fonctionnement des neurones.

En bref : nous devons manger de tout (fruits, légume frais, poissons) en respectant les saisons naturelles, et surtout à heures régulières.

COMMENT AMELIORER NOTRE MEMOIRE*

Le  mode de vie active, la prise de bonnes décisions cohérentes, des exercices de santé mentale dans le quotidien, sont plus importants que des effets épisodiques.

Notre esprit est actif, il change et se développe constamment. Un cerveau en bonne santé gère mieux le stress.

Notre cerveau a besoin de

a-créativité : être créatif avec la peinture, l’écriture, le travail de la terre : améliorent notre capacité à voir les choses sous différents angles et de par la flexibilité cognitive nous amènent à trouver des solutions efficaces  = « qu’est-ce-que je pourrais inventer pour parvenir à réaliser ces travaux manuels » ?

b-d’inter-action sociale,

c-de nouveaux apprentissage : apprendre de nouvelles choses : notre esprit doit résoudre ces problèmes de manières nouvelles et inconnues ; donc, la maitrise de nouvelles compétences améliore la mémoire, la parole, la neuroplasticité ; ex : lecture, maitrise d’un nouveau sport, apprendre à jouer d’un instrument de musique, etc.

d- dire « oui » à l’ennui : celui-ci renforce la capacité de concentration. En mettant de côté téléphone, TV, plusieurs fois par jour, cet ennui permet à notre cerveau de se reposer, s’accorder ce temps de ne pas être productif

e-de méditation 10 mn par jour ; en méditant, j’aide mon cerveau à rester plus jeune = avec l’aide de la concentration et de l’attention, je peux influencer mon état mental, le renforcer, favoriser la régulation émotionnelle

CONCLUSION*  

-Avoir un corps en forme –bien manger, -Avoir une activité physique qui amène de la joie,

-Apprendre quelque chose de nouveau, -10 à 15 mn par jour laisser le smartphone, etc…

-Faire quelque chose de créatif de ses mains, -Se coucher à heures régulières afin que le cerveau puisse se renforcer

 = toutes ces faits ET actions améliorent la mémoire et stimule la croissance de l’hippocampe.    

De plus, être « gentil » c’est-à-dire  agir consciencieusement et s’en tenir aux principes moraux sont bénéfiques pour la santé mentale. Etre gentil,  améliore le fonctionnement du cerveau et réduit le stress. Lorsque nous nuisons aux autres (tricher,  mentir, médisance, etc) nous renforçons les aspirations négatives dans notre esprit et augmentons le sentiment d’anxiété

*extraits de podcasts de David LEFRANCOIS , docteur en Neurosciences et psychologue.

2- L’amnésie infantile a été à la fois travaillée par la psychanalyse et par la neuropsychologie. Comparez ces deux théories en quelques lignes (dix au maximum).

La psychanalyse est une méthode d’investigation des mécanismes psychiques -le mot psychique signifie d’ordre mental, c’est-à-dire qui concerne l’esprit et non le corps-.

La neuropsychologie est une branche de la psychologie clinique : elle s’intéresse aux relations entre le cerveau et le fonctionnement psychologique.

L’amnésie infantile se situe dans l’inconscient refoulé c’est-à-dire le « ça »-première topique- Cet inconscient est motivé par la recherche exclusive de plaisirs en dépit des interdits. L’amnésie infantile refoule la période du développement sexuel de l’enfance : refoulement consécutif à l’identification au parent du même sexe.

Conclusion : le psychanalyste et le neuropsychologue sont à même de traiter « l’amnésie infantile ».

3- En lien avec le processus de mémoire, l’attention est au démarrage de ce processus si complexe. A travers vos recherches ou vos connaissances, vous développerez en quelques lignes, les troubles de l’attention que l’on peut retrouver aujourd’hui chez les enfants (vingt lignes au maximum).

L’enfant qui souffre des « troubles de l’attention » trouve tout ce qu’il voit ou entend intéressant –télévision, internet, jeux vidéo, etc. Il a du mal à être organisé, calme, concentré : une pensée chasse l’autre. L’enfant a besoin de remuer ; très curieux, il peut être impulsif car tout l’intéresse. Sollicité de toutes parts, il veut tout absorber. De ces faits, il est désorganisé, étourdi voire agité.

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