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L'Education Hitleriennes

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des estimations prudentes, il y a en Allemagne environ 300.000 aliénés et épileptiques dans les asiles. Calculez combien coûtent annuellement ces 300.000 aliénés et épileptiques. Combien de prêts aux jeunes ménages à 1000 marks pourrait-on faire si cet argent pouvait être économisé ? » (Manuel scolaire de math nazi de 3ème)

Dans cette photo on voit que les enfants sont récompensés par des médailles d’honneur, en étant habillés en tenu de combats avec un casque et un uniforme. Ceux du fond sont en rang, droit comme a l’armée à attendre leur tour. Les jeunes sont récompensés par un homme haut gradé qui est le dirigeant des jeunesses hitlériennes : Baldur von Schirach.

Cette photo représente un entrainement militaire de tir aux fusils. Les enfants exécutent l’exercice sous la surveillance et les ordres d’un militaire. Ils font un entrainement proche de la réalité avec des balles réelles et un lieu de tir adéquate.

"Je veux une jeunesse brutale, impérieuse et cruelle. Elle doit supporter la souffrance. Il ne doit y avoir en elle rien de faible, de tendre. Le fauve libre et

magnifique doit à nouveau briller dans ses yeux. Forte et belle : voilà comme je veux ma jeunesse. Elle pratiquera tous les exercices physiques. Je veux une

jeunesse athlétique. C'est la première chose, la plus importante... Je ne veux pas d'éducation intellectuelle. La science corromprait ma jeunesse... Mais elle doit

apprendre à se dominer. Je veux qu'elles apprennent à vaincre, dans les plus rudes épreuve, la crainte de la mort... C'est le stade de la jeunesse héroïque qui

prépare la jeunesse au stade ultérieur celui de la maturité virile."

"Mercredi à 15 heures, rassemblement sur la place du marché. J'appartenais au groupe 20. Un groupe comprenait environ 100 membres en 3 sections : en modèle réduit un régiment. Nous agissons selon les ordres du Führer, nous sommes sa jeune garde. Nos chef de groupe et de section nous apprennent à ramper, À nous camoufler dans la forêt ; ils sont beaucoup plus sympathiques que la plupart de nos professeurs. Nous avons des chefs, un plan de service, un but de formation, à moitié militaire. Nous avons tout appris en chantant, en riant, en nous bagarrant dans les jeux et les feux de camp. La camaraderie est plus importante que la vie de famille, avant tout, meilleurs Nous partions parfois en excursion pour le week-end, le sac à provisions à la ceinture, une couverture roulée sur l'épaule. Dans la forêt, notre groupe se disperse : nous la parcourons en rampant, toujours préoccupés de nous cacher d'un ennemi fictif ; aucune branche ne doit craquer. Arrivés près de l'emplacement du camp, qui est "occupé par l'ennemi", nous partons à l'assaut en hurlant. Après le repas, nous chantons autour du feu, puis nous dormons sous des tentes pendant que deux camarades montent la garde, relevés toutes les deux heures. Le sentiment de camaraderie nous donne la sécurité. Cet entraînement développe le sentiment d'une lutte impitoyable contre un ennemi. Un jeune allemand ne doit pas avoir peur : "pensez au Führer, il est passé comme agent de liaison chaque jour à travers le feu roulant de l'ennemi". Cela aide à la longue chacun à vaincre sa peur. Nous avions notre propre univers. Quand la guerre fut déclarée et que les premières annonces mortuaires des soldats parurent dans les journaux, nous déplorions de ne pouvoir participer

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