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Marché Australien Cosmétique

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destinés aux hommes uniquement continue son essor (remplaçant progressivement les produits unisexes).

- La demande augmente pour des produits dits « holistiques » et donc crée un engouement pour des produits bio/organiques et à base de tous ingrédients naturels.

La production locale ne suffit pas encore à ses besoins.

Parmi les entreprises françaises, on note la présence de L’Oréal (Lancôme), Clarins, LVMH. En ce qui concerne les produits cosmétiques : Payot, Gatineau, Clarins, Lancôme, Laura Mercier, Décléor, etc. En parfumerie, les marques relevées sont C. Dior, Chanel, Guerlain, Chopard, Givenchy, Caron, etc. Les Etats-Unis sont le deuxième fournisseur de l'Australie en parfums avec grand nombre de marques de « célébrités et couturiers » (Brittney Spears, Mariah Carey, Sarah Jessica Parker, Paris Hilton, Marc Jacobs, etc.).

Il existe trois agences de contrôle selon la nature et la présentation du produit :

- NICNAS/National Industrial Chemicals Notification & Assessment Scheme (www.nicnas.gov.au)

- TGA/Therapeutic Goods Administration (www.tga.gov.au)

- l’AQIS/Australian Quarantine and Inspection Service (www.aqis.gov.au)

Une taxe (Good & Services Tax : GST) de 10 % s’applique sur la vente des produits cosmétiques : elle est calculée à partir de la valeur en douane + frais d’assurance et de fret (équivalant TVA).

Les droits de douane varient de 0 à 5 % sur la valeur en douane (http://mkaccdb.eu.int/ ou www.custom.gov.au).

Pour tout conseil relatif à la protection de la propriété intellectuelle, les entreprises peuvent consulter les sites internet suivant : www.ladas.com/IPProperty

Les Australiens sont très attentifs au conditionnement des produits qui est un critère d’achat important. Celui-ci doit être attrayant, original et respectueux de l’environnement.

Les parfums et cosmétiques sont vendus en pharmacie (16,4%), dans les grands magasins

(13,4%), dans les supermarchés (43,1%) et dans les magasins spécialisés (6,5%).

Trois tendances sont à relever : l’apparition de chaînes de magasins de beauté comparables à Séphora ou Marionnaud (Mecca-Cosmetica et Kit-Cosmetics), l’augmentation des ventes sur internet et la croissance des ventes directes (Avon, Amway…).

La concurrence est de plus en plus rude entre les distributeurs, plus particulièrement entre les supermarchés (Coles, Woolworths, etc…), les grands magasins (Myer, David-Jones, etc…), les magasins discount (Priceline..) et les enseignes non spécialisées qui se mettent à vendre des produits de beauté.

Pour bien réussir son exportation, il est indispensable de connaître la réglementation australienne.

L’accès au marché australien est relativement aisé pour les produits cosmétiques français.

Les exportateurs éprouvent, cependant, quelques difficultés à savoir quelle réglementation s’applique à leur produit, qui peut, selon sa nature ou sa présentation, être considéré par les autorités australiennes comme un produit industriel ou un produit thérapeutique, et même être soumis à des contraintes quarantenaires. Le manque d’une procédure claire d’importation d’échantillons et les problèmes liés à l’autorisation des importations parallèles sont également ressentis.

Il existe trois agences de contrôle selon la nature et la présentation du produit. Les produits cosmétiques et leurs ingrédients, à condition de n’avoir aucune prétention thérapeutique et ne contenir aucune substance biologique capable de comporter des microorganismes

vivants (fonds de teint, par exemple) sont gérés uniquement par le programme

NICNAS/National Industrial Chemicals Notification & Assessment Scheme (www.nicnas.gov.au). Par contre, les produits qui, comme les écrans solaires d’IPS supérieur ou égal à 4, sont considérés en Australie comme des produits thérapeutiques

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