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La chose et l'objet

Commentaire de texte : La chose et l'objet. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  12 Juin 2023  •  Commentaire de texte  •  6 138 Mots (25 Pages)  •  138 Vues

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Philosophie nouveau truc:

La chose et l'objet

Intro (je crois):

L'objet vaut pour autant que je le perçois. L'objet n'estpas exactement la chose mm si par abus de langage ils peuvent être confondus. Il est pour autant qu'il s'offre à ma subjectivité. La face qui se dérobe de l'objet serait la chose.

Proposition Descartes, Les règles pour la direction de l'esprit

Il faut considérer chacunes des choses singulières par rapport à notre connaissance autrement que si nous en parlons comme existant réellement.

Que nous ne puissions connaître aucuns objets comme chose en soi mais seulement en tant qu'objet d'intuition sensible càd en tant qu'objet de phénomène. La critique ne s'est pas trompée en nous faisant prendre l'objet dans deux sens comme objet et comme chose en soi. De chaque côté on évoque un existant réelle ou une chose en soi et on la sépare de ce qu. Dieu existe plus parfaitement qui moi j'existe. Il contient l'éxistence plus parfaitement que je la contiens. Ce sont des caractéres nominales de l'objet.

Nominal = qui suffit pour reconnaître. Elles contiennent les marques des choses qu'on vedut distinguer des autres. Les définitions réelles établissent la possibilité des choses définis. Les mots sont des signes qui  nous permettent de reconnaître les choses. Les signes viennent forcément après la chose: post res. Le nominalisme consiste à dire il y a de l'universel après la cause. Les signes sont aptes à signifier plusieur choses. Tout ce qui une fois appréhendé fait entrer autre chose à notre connaissance si bien que cela n'amène pas l'esprit à venir à sa connaissance première signe.

Les categorem sont les signes qui ont une signification définie et fixe. Entre le mot et la chose il y al'idée et le concept. Nos énoncés eux-mêmes sont des signes subordonnés aux concepts. On interprète svt le nominalisme par la première thèse mais il y a aussi la deuxième thèse: les mots sont des conventions. Que ce soit comme concept ou comme mots les signes viennent plus tard. Elle n'est pas non plus dans autre chose parce que ce qui est est en elle. C ce qu'aristote apl la substance en elle-même. Aristote dit que nous allons trier les êtres. Il remarque dans les manières de parler, les uns se disent d'un certain sujet; en revanche ils ne lui sont pas intérieurs ou intrinsèques. Je dis d'un sujet c'est un homme. C'est une qualité que je dis de lui sans que cette qualité lui soit intérieure. Je peux dire qu'un homme est un savant, c'est que la science lui est inhérente. Aristote dit tout le reste ou bien se dit des substances premières ou est inhérent aux substances premières. Kant dit jamais la substance n'a été une chose c'est la forme logique de la pensée. C'est une transgression des lois de la raison que de passé d'un concept à qmqch d'existant. Suis-je bien fondé par ma raison à avoir de telles prétentions. La raison engendre des illusions. La raison ce n'est pas seulement ce que j'appelle au secours contre les illusions parce qu'il y a des illusions que la raison engendre.

Il y a des illusions que la raison engendre et Kant les appelle idée. Elles sont de 3 natures: l'âme, le monde et Dieu. Pour le monde que signifierait la thèse de Kant qu'il appelle l'idée cosmologique. Ce que Platon appelait simulacre il y aau loins ce point en commun. Ce sont des apparences transcendentales. La raison se définit d'abord comme une cerrtaine manière de traiter des concepts de l'entendement. Par ex je dis que Socrate et mortel. La raison cherche un autre concept qui conditionne l'attribution du second au premier. Le problème c'est que mon entendement dispose déjà de concept qui s'attribuent à tous les objets de l'expérience possible. La catégorie s'étend déjà à tout si bien que si elle pratique sa délarche habituelle, elle risque qlqch d'étrange. La catégorie déjà par principe s'applique à tout objets. La raison est forcée d'inventer de nv concepts. En second lieu la raison peut-être vu comme la faculté de décider. Pk le monde est-il une illusion ? Que faudrait-il pour que le monde soit un objet et non pas une illusion ?

Il fallait que j'ôte au concept toutes les conditions de temps qui lui seraient nécessaires pour s'appliquer à un objet. Le concept de permanence est ce qui fonde tous les rapports de temps. Substance = ce qui ne change pas comme sujet même qunad il change. Tous les phénomènes contiennent qlqch de permanent (substance) considéré comme objet et qlqch de changeant considéré comme simple détermination de cet objet.La substance c'est ce qui persiste dans le temps. Le monde était la totalité des causes et des effets. La substance c'est la permanence.

09/02 (une partie écrite sur feuille)

Transcendant : au delà de l'espace et du temps (stylé)

Il y a une autre objection au concept de substance. A. comme Porphyre dit: "la substance est celle qui fait le plus office de sujet". Ce qui est sujet c'est ce qui est placé dessous. C'est le substantif d'une pure passivité. Si la substance est la dernière couche, il n'y a pas de substance ou en tout cas il n'y a pas de substance non stratifiée. Parce que Pierre commençait à percer du regard la première couche superficielle du monde il s'imagineait dans sa follie qu'il avait atteint la substance non stratifiée. Si loin que les géologues soient descendus dans les profondeurs de la terre ils n'ont trouvés que strats sur strats. Jusqu'à son axe le monde n'est que surfaces superposées. Au prix d'immenses efforts nous nous frayons un chemin dans la pyramide, traversons la partie centrale, trouvons le sarcophage l'ouvrons et il ne se trouve rien. Le sujet dernier nous échappe.

Interprétation: l'objet de l'interprétation sont les signes. Tout est interprétable parce que tout est signe. Supposons que ce problème reste trop abstrait il faut donc essayer de lui donner plus de concretisme. Dans une interprétation dite sociale de la Révolution française. C'est trop facile de dire que l'interprétation est sociale parce qu'elle illustre des processus de production et la répartition des richesses. Il faut que le sociale désigne la substance de l'interprétation. Le sens premier est immédiatement doublé par un autre. Le social devient ce dessus où cet arrière fond des évènements ou des mots qu'il faut tjrs arracher au mensonge de ... Faire l'histoire de la Rev Française c'est devenu faire l'histoire des interprétations de la Rev Française.

14/02

Ou il n'y a pas de strats ou bien la stratification est vide. Y'a-t-il dans l'histoire un dessous des évènements. Le dessous des évènements c'est le social. Social ne désigne pas juste un mode d'interprétation des évènements. Une interprétation sociale de la Révolution Française doit faire que social désigne ce dessous ou cet arrière fond des évènements. C'est une manière de dire, les mots desgens quui font l'histoire et de ceux qui l'écrivent mentent mais nous nous devons retrouver le social si social veut dire ce qu'il y a dessous. Il faudrit fendre pour retrouver le dessous. Trop de mots se sont interposés entre nous et la Révolution pour qu'on puisse... Entre les faits et l'interprétation il y a un obstacle à lever, un nuage épais de mots à dissiper. Les transformations produites par la Révolution dans la société française sont obscurcies par la masse de... Il y a les acteurs des révolutionnaires, celle des historiens à géographes.... Pleins de manières de parler de la Révolution. L'interprétation a à faire à l'excés des paroles de la RF et sur la RV. On pourrit dire ce retour à la réalité n'a rien de nv c'est ce qu'avait entreprie l'interprétation marxiste. C'est parce que cette interprétation fait partie de nous et ne fait pas exception des mots. Elle voulait revenir à la réalité et a à la subsistance qui n'ont fait que nous en éloigner (P.71). L'interprétation qui a voulu substituer les choses aux mots mais s'est laissée dans cette interprétation même piégée par les mots. C'est une parole qui a cru en chaque parole. Elle a pris pour acquis la notion de féodalité (mots anachroniques). Il renvoyait à une situation qui n'existait plus à leur époque. Pour que revenir aux choses même ne soit pas une pure injonction. La substance c'est l'expression d'une perspective qui dit regardons les choses vus du dessous. Il y a des nobles à tous les échelons de la population. Le problème c'est que noble et féodal sont des mots que les acteurs utilisent déjà mais les emplois anachroniquement. Le dessous des mots c'est d'autres mots. Nous sommes voués historiquement à l'histoire à la passion de construction de discours sur les discours. On parle pour parler de la parole des autres. Dans toute parole commentée il y a qlqch que nous pouvons commenter en elle qu'elle n'a pas dit. Quand je commente j'essaie de prononcer ce que la parole de l'autre a essayé de dire mais qu'elle n'a pas dit. La parole a pour objet une autre parole dont elle cherche à exulmer ce qu'elle a dit sans le dire. C'est un signifié qui excède le signifiant, les mots eux-mêmes. La parole qui commente cherche un signifié dans ce qu'elle commente. La parole qui commente commence à être plus bavarde que la parole commentée. Commenter c'est admettre par définition un excés du signifié sur le signifiant. Un reste nécessairement non formulé de la pensée que le langage a laissé dans l'ombre. Mais commenter suppose aussi que ce non parlé dort dans la parole et que par une surrabondance propre au signifiant on peut en l'interrogeant faire parler un contenu qui n'était pas explicitement signifié. Le sens n'est jamais dans la parole elle-même. Il y a tjrs excés du signifié sur le signifiant. Le signifiant n'est pas censé traduire sans cacher et sans laisser le signifié dans une inépuisable réserve. Ce point nous le devons à Nietzche. Il dit voilà si l'interprétation ne s'achéte pas c'est parce qu'il n'y a rien d'absolument premier à interpréter car tout est déjà interprétation. Tout ce que j'interprète, interprète autre chose. L'interprétation n'éclaire pas une matière à interpréter pour s'offrir à elle passivement. Elle ne peut s'imprégner que d'une interprétation déjà là. C'est déjà chez Marx car il interprète un rapport qui s'est déjàn interpréter par lui-même. Freud découvre des fantasmes avec une charge d'angoisse. Foucauld découvre l'anorexie. Pour lui c'est un symptôme à traiter qui renvoie aux fantasmes du mauvais sein maternelle. L'herméneutique et la sémiologie sont deux farouches ennemis. Une herméneutique qui se replie sur la sémiologie croit à l'existence absolue des signes, elle abandonne l'inachevé, l'infinité des interprétation, pour faire régner la terreur de l'indice et suspecter le langage. L'intervention de Foucauld s'appelle Nietzche Freud Marx. L'herméneutique est une interprétation mais cette interprétatioon est une interprétation infinie. La sémiologie croit au rapport à double face entre le signifiant et le signifié. Ce qui est certain pour nous c'est que le langage ne renvoie pas à une substance, il renvoie au langage. Sommes nous condamné à entasser les mots sur les mots. Pour autant nous ne visons plus la substance, il faut trouver une troisième possibilité qu'il appelle archéologie. Une archéologie s'agit de prendre les énoncés eux-mêmes comme des apparitions c'est à dire comme des phénomènes. Cette nouvelle méthode consisterait à dire: "tout est dit". Il n'y a plus de réserve dormante de la parole, tout est dit. Un énoncé n'a pas de sens, il a une place. Il faudrait traiter les faits de discours comme des segments d'évènements et des fondements fictionnels formant systèmes de proche en proche. Le sens d'un énoncé ne serait pas défini par le trésor d'intention qu'il contiendrait mais par la différence qu'il articule sur les autres énoncés réelles et possibles. Càd on ne cherche plus la substance mais pour autant on ne veut plus se contenter d'être commentateur. Je vais alors considérer un énoncé comme un évènements. Le matéraloisme a besoin de la conviction que le monde existe face à nous. L'indétermination de la matière lui suffit. Lénine est dansla droite ligne d'Aristote. Il disait (Lénine) que la matière est mm pas connaissable. Elle est inconnaissable par soi. C'est exactement comme Saint Thomas dit. La matière signée c'est le corps. Chez les pré socratique on trouve un équivalent qui serait l'illimité. Si tout corps comporte une limite en revanche il y a une condition de découpage des corps sur laquelle les corps se découpent. Les 4 éléments ne cessent pas de se transformer les uns dansles autres mais du mm coup aucun n'est plus déterminant. Le principe n'est aucun des éléments, il est d'une autre nature illimité dont sont engendrés tous les mondes qui se trouvent en eux. Kora veut dire un espace de terre. Dès qu'on cherche ce qu'on doit se donner pour qu'il y ait un monde... Comment l'ordonnateur a-t-il ordonner le monde. Quel modèle a-t-il contemplé avec ses yeux pour en fabriquer une copie avec ses mains. Il dit: "mais, il n'y a pas fabriquer le monde conformément aux objets car les objets sont des parties de monde. Si le monde a était fait sur la base d'un modèle il faut qu'il soit complet, que ce soit un tout. Or chez Aristote "parfait" veut dire que le monde est tel qu'il n'y a rien au dehors. Chez Platon c'est autre chose c'est le tout de tous les vivants intelligible. Ainsi pour que la copie soit parfaite il faut qu'elle soit un vivant visible ou sensible et qu'elle inclue tous les vivants. Un tel modèle enveloppe et contient en lui-même tous les vivants intelligibles de la mm façon que notre monde nous contient et avec nous tout ce qu'il y a de vivant visible. On a déjà deux éléments requis pour faire un monde, l'espèce du modèle ou la forme du modèle. Platon dit c'est une espèce intelligible et tjrs... et puis de l'autre la copie du modèle qui nait qui meurt et visible. Il faudrait une troisième donné: quelqch pour acceuillir les copies aka la matière

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