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La danse en Philosophie

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Par   •  11 Avril 2017  •  Discours  •  2 445 Mots (10 Pages)  •  921 Vues

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La danse

Article de 1837 consacré aux danses autrichiennes Fanny Hesler le poète et critique d’art déclarait : « après tout la danse n’a d’autre but que de montrer de belle forme, c’est un rythme muet, une musique que l’on regarde

Danse délaissée par la philosophie. Mais quand même suscitait des critiques quand on la regarde seul : superficiel, titilleuse de sens. Prise pour elle-même elle n’est pas reliée à la métaphysique, philosophie.
Danse contemporaine où le corps qui danse renvoi qu’à lui-même, qu’à ses propres mouvements. Où la main ne représente pas autre chose que la main.

Question que seule la danse peut poser à la philosophie : pourquoi serait-elle forcément métaphysique ? Pourquoi ne deviendrait-elle pas aussi physique ? Pourquoi finalement la philosophie ne danserait-elle pas aussi ?
Et si la danse était alors le meilleur moyen de penser autrement les grandes questions de la philosophie.

Quelle est la philosophie de la danse ?

Heigl et d’autres philosophes ont négligé la place et l’importance de la danse pour la réflexion.

Francis parshokt ?

  • Indifférence philosophique à l’égard de la danse

Valeur de la danse était forcément liée aux autres arts qui l’accompagnent (musique, mimes).
Meme pour aristote aucune valeur artistique. Platon méprisait la dansean tant qu’art.
Elle ne sert que de démonstration, d’interlude.
Bien lorsqu’on la pratique mais en tant que spectacles rien.
Elle ne peut pas se suffir à elle-même et aujourd’hui on essai de l’attacher à des significations que l’on ne voit pas dans le mouvement comme si le mouvement n’avait aucun valeur en lui-même mais qu’il y avait des intentions.
Danse purement divertissant. Creux vide superficielle voir immoral reflète l’hystérie des partcipants les caractères éfféminée, mele la virutosité et le voyeurisme du corps.
Autre dimension : tout le monde peut faire de la danse.
Nature éphmere de la danse une fois finie c’est finie une fois effectué même disparait.

Danse manifestation d’une nature humaine : permet la circulation de l’esprit dans le corps.
L’action dansée exemplifie ce qu’est l’action humaine en général : large, liberté et non libre. Un danseur exprime, incarne des problèmes très métaphysique rapport entre intention et action, âme et corps, émotion et rationnalité (par pour Merce).
Danse n’est pas un moyen d’exprimer mais d’incarner les problèmes philosophiques.
La danse ce n’est que le mouvement de la pensée.

La danse cherche à intégrer le corps et l’esprit.

On comprend avec l’émotion.

La danse explenfie les problèmes les plus abstrait entre intentionnalité et action.

Mystère au corps dansant : mais philosophie plaque sur le corps
Discours analytique réduit la danse.

Danse serait expression d’une subjectivité emotionnelle on ne peut donc pas cherché à la comprendre.
danseur développe des capacités techniques

Danseur

Nina black swan parvient avec virtuosité a danser la danse du xygne blanc avec prouesse technique mais pas celui du cygne noir car ne veut pas s’abandonner

On assimile la

Cunningham volonté d’exprimer autre chose que la technicité du danseur

Danse chorégraphe contemporaine compose à base d’improvisation

Avec la danse on repense le rapport l’individu au monde : danse montre quelque chose des relations spatiales temporelles


EXPOSÉ N° 10 : QU’EST CE QUE LA DANSE ?

Ref :

  • Texte de Merce Cunningham  : L’art impermanent 1995
  • Emission France Culture : La danse a-t-elle une philosophie

Merce Cunningham  1 :

Para 1 : QU’EST CE QUE LA DANSE

Les danseurs, musiciens, peintres, autrement dit, les artistes ont désormais des intérêts différents dans leur pratique. ex av on pouvait considérer, le peintre, le danseur ou le musicien par rapport à l’oeuvre alors que désormais l’on voit le tout  : la chose.

Merce donne la définition d’une chose : la chose existe dans son temps et a sa place et n’a pas besoin de renvoyer à autre chose dans la réalité ou dans le symbole. Une chose « est » : il faut accorder à chaque chose  de la reconnaissance et de l’amour. Ca ne sert à rien d’établir des relations, des continuités aux choses etc. parce que TOUT est déjà dans la nature de la chose, TOUT est dans la matière.

Cela veut dire que lorsqu’un danseur danse, tout est là et le sens notamment, tout les mouvement le sens, les lignes présentent une chose : c’est ce que je fais. Une chose est ce qu’elle est , par exemple en peinture aujourd’hui l’on commence à vraiment voire la peinture, et pas le peintre ou ce qui est peint… c’est une chose qui enveloppe un tout et qui fait que c’est justement une chose.

Para 2 : CONTENUE DE LA DANSE

Un saut qui est un simple saut devient ensuite une forme : à partir de ce moment on accorde de l’attention au saut, ducoup il prend tout son sens et ça nous empêche alors de chercher cela dans autre part que la danse, parce que notre première impression c’est de penser que le sens de la danse réside autre part que dans la danse or la danse à un sens en elle même … FLOU IL FAUT PLUS D’ARGUMENTS OU EXEMPLES

Aussi, le fait de donner tout son sens au mouvement même ici le saut par exemple, ça nous libère de toute cause à effet entre les mouvements et de notre besoin de continuité. comme quand on etablit un lien entre notre passé notre présent et notre future , alors qu’on pourrait les classer comme trois histoire distincts puisqu’ici chaque acte de vie constitue sa propre histoire. Et la danse rend claire cette  «vision des choses » et permet de se débarrasser « des boulets » que l’on traine par exemple.

Para 3 :  OBJECTIVITÉ DE LA DANSE.

Comme tout la danse fait partie de la vie, elle se présente sous de multiples formes et plus précisément sous un jeu de hasard, autrement dit de mouvement qui n’exprime pas notre volonté

«  Je puise mes ressources dans ce jeu qui n’est pas le fruit de ma volonté mais une énergie et une loi auxquelles je me soumets ». Il s’oppose à la manière de composer ses chorégraphie de manière réfléchis.  VOIR WIKIPEDIA PROCÉDÉ DU HASARD. Il s’adonne à une force naturelle qui transcende sa volonté personnelle pour que ce soit totalement OBJECTIF pour plus que la danse devienne un art subjectif. MAIS POURQUOI ???

Para 4 : CE QUE LA DANSE N’EST PAS

La danse n’est ni une relation sociale ni une passion envers autrui mais une SOURCE dans laquelle il est possible de faire surgir la colère, la passion etc sous une forme particulière. Elle contrôle les énergies liées à l’affecte, ainsi en poussant ces énergies à leurs limites elle peut nous pousser à l’ivresse, à l’état de trans. Cette état « d’ivresse » fait que l’on ne peut plus ressentir nos mouvements et à ce moment là le corps et la pensée fusionnent : FUSION DE L’AME ET DU CORPS lorsque l’on danse, la danse est alors objective puisque le corps s’apparente.

Para 5 : EXALTATION DE LA DANSE

La danse est un don possible de liberté. La danse nous rend libre, elle permet non seulement la conscience du monde et le détachement de lui.

Amine :

Il qualifie la danse de double naturel du paradoxe métaphysique.

Selon lui, il n’y a pas besoin de trouver de signification à la danse, elle est ce qu’elle est, nul besoin de lui attribuer une quelconque expression d’images enfouies dans notre conscient ou inconscient.

Selon Merce toujours, la danse permet à l’esprit du danseur de circuler dans ses membres et de se projeter dans l’espace en toute liberté. Les jambes de l’homme en disent beaucoup.

On danse avec notre corps et non par un effort mental. > On peut émettre une légère critique ici, il peut certes, en tant que chorégraphe laisser libre cours à son imagination et laisser faire son corps, mais le danseur à qui il va imposer sa chorégraphie devra s’adapter à cette danse et donc réaliser cet effort mental que Merce ne considère pas.

L’esprit prend la forme de la vie à travers la danse.

Il a utilisé le procédé de hasard dans un solo, untitled solo, et pourtant, cette danse semble avoir une suite logique bien qu’il n’en ait pas décidé l’enchaînement. La danse est même « dramatique » naturellement, sans qu’il n’ait forcé quoi que ce soit.

Il qualifie également le danseur de marionnette de la nature, comme si au final la danse et le corps suivaient une loi de la nature.

Il n’est cependant pas un fervent défenseur de l’emploi de procédés aléatoires, il dit juste que c’est sa méthode pour le méthode pour le moment et que c’est celle qui lui permet d’utiliser au mieux ses facultés.

Si vous vous demandez comment il fait pour déterminer aléatoirement ses choix lors de l’élaboration de ses chorégraphies, voici la méthode qu’il utilisait.

Si vous voulez, il utilisait un tableau. Tirait d’abord a pile ou face pour sélectionner  un mouvement dans le tableau des mouvements, puis pour déterminer la durée de ce mouvement particulier, enfin, il déterminait, toujours à pile ou face, la place et la direction du mouvement.

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