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Question De Corpus Sur L'Image Du Roseau

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es, l'un, évoquant la force : le Chêne, l'autre, la fragilité, le Roseau. Le Chêne explique au Roseau comme il est robuste et comment il pourrait le protéger si il était né à ses pieds. Mais, contre toute attente, la confrontation va tourner à l'avantage du plus faible. Le second texte est un extrait du livre de Blaise Pascal : Pensées, « Le roseau pensant ». Dans ce texte, Blaise Pascal compare l’homme à un roseau. Le dernier texte est une fable de Jean Anouilh extraite de son livre Fables s’intitulant « Le chêne et le roseau ». Dans ce texte il y a un dialogue entre le chêne et le roseau qui ici représentent les gens riches pour le chêne et les gens pauvres pour le roseau. Et encore une fois l’avantage va être pour le roseau. L’image du roseau transmet-elle dans ces trois textes la même vision de l’homme ? Dans un premier temps nous chercherons les points communs et dans un second les différences.

Dans les trois textes, le roseau représente l’homme, un homme faible. Dans les textes un et trois, les roseau plie au grès du vent « Je plie », texte un, « il se tenait courbé », texte trois. Il est considéré comme faible, nous pouvons retrouver le champ lexical de souffrance, de l’infériorité, dans le texte un « baisser la tête », « souffrir » ; dans le texte deux, « le plus faible », « le tuer », « il meurt » ; dans le dernier texte : « si faibles, si chétifs », « petite vie ». Dans chaque texte le roseau a un opposant mais il lui résiste à chaque fois, dans les textes un et trois le roseau résiste au vent alors que le chêne lui est déraciné et meurt, dans le second texte, l’homme directement comparer au roseau, est plus grand que ses opposants car il est conscient de ce qu’il devient grâce à la pensée.

Dans le texte un, le roseau n’ose pas s’opposer au chêne, il ne fait que peu d’argumentation pour se défendre ; alors que dans le texte trois, on sent que le roseau a du mépris pour le chêne car ce dernier pense qu’il es largement inférieur à lui car il représente la robustesse et donc dans le monde humain la richesse et le roseau la pauvreté. On le voit aussi à la dernière phrase du chêne « Je suis encore un chêne » ce qui eut dire que le roseau lui restera toujours inférieur qu’il soit mort ou vivant tout comme pour les hommes riches ou pauvres. Le second texte, lui, met d’emblée le roseau, l’homme en valeur contrairement aux deux autres textes. On le voit par la reprise du verbe et de ses dérivée « penser » repris par cinq fois tout au long du texte.

Dans ces trois textes la vision du roseau transmet la même vision de l’homme : faible se pliant au grès du vent mais toujours en se défendant face aux plus fort, plus grand. L’homme peut riposter face au plus fort grâce au fait qu’il soit doté de pensée, de réflexion, d’un esprit vif ne répondant pas aux préjugés mais en argumentant intelligemment. Néanmoins, dans le dernier texte de Jean Anouilh, le roseau se montre sec dans sa façon de s’exprimer avec l’arbre nous pouvons même relever l’emplois du mot

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