Synthèse La Vitesse Culture Générale

L’avancée des nouvelles technologies entraîne les individus dans une rapidité toujours plus croissante. En effet, par le biais d’internet et de la télécommunication, les échanges entre deux ou plusieurs personnes sont toujours plus instantanées et directs. Les entreprises de marketing ont bien compris cette évolution et s’en servent à présent afin d’attirer de nouveaux consommateurs : la vitesse modifie la société et le comportement des hommes. Les quatre documents proposés portent sur ce sujet. Nicole Aubert tente à travers son essai Le culte de l’urgence de décrire l’évolution de la vitesse et ses conséquences sur l’Homme. L’écrivain Jean Ollivro explique dans son œuvre Quand la vitesse change le monde que la vitesse doit être un choix qui apport un intérêt. Lamberto Maffei analyse les défauts de la rapidité à travers son étude Hâte-toi Lentement. Le compositeur Pierre Billon déclare dans sa chanson J’ai oublié de vivre, qu’à force de vouloir vivre dans la vélocité nous en oublions l’essentiel autour de nous. D’où provient cette quête de la vitesse et quelles en sont les conséquences sur l’Homme ? Tout d’abord, les raisons de la vitesse sont multiples et crées par plusieurs facteurs. Ensuite, ses impacts négatifs sur l’homme sont plus importants que nous le pensons.

Premièrement, Maffei et Ollivro considèrent la vitesse comme une avancée majeure du monde. Maffei déclare la rapidité comme un progrès de l’humanité. Cette idée est appuyée par Ollivro qui définit la vélocité comme la conquête principale des Hommes.

Ensuite, Ollivro estime que la vitesse peut être une décision personnelle raisonnable. Pour l’essayiste, la rapidité doit être un choix à l’initiative d’un projet et ne doit pas susciter sans intérêt ou dans l’objectif d’accroître un rendement. Si celle-ci n’est pas un choix réfléchi, elle risque d’avoir des conséquences.

Cependant, Aubert explique que la société de consommation occupe une place importante dans l’évolution de la vitesse. En effet, d’après l’écrivaine, la mondialisation voie les individus comme des produits éphémères. L’unique objectif des Hommes au sein de la société est de rapporter le maximum de profit immédiat aux entreprises : les achats doivent être effectués de manière quasi-instantanée pour être le plus rentable possible.

En plus de cela, Billon et Aubert portent la société comme une pièce majeure de la vitesse. Pour le compositeur, il est essentiel d’évoluer au même rythme que celui de l’évolution de la rapidité au sein de la société afin de ne pas se sentir exclus. Aubert précise que notre environnement accorde une place importante aux mécanismes automatiques de notre cerveau.

Pour continuer, d’après Maffei, la société donne une image péjorative de la lenteur. En effet, d’après l’écrivain la société voie d’un mauvais œil la paresse. Or, la lenteur est tout aussi importante : elle permet d’avoir une réflexion poussée et de pouvoir mieux analyser notre future action.

Si la vitesse évolue par une multitude d’acteurs et de facteurs au sein de notre société, celle-ci peut avoir de nombreuses conséquences sur les Hommes.

Aubert et Ollivro déclarent que la vitesse modifie

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