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uvoir.

- La menace est la forme la plus connue du pouvoir, parce qu’elle est la plus visible et la plus « violente », en apparence au moins. Qu’est la menace ? La manifestation par laquelle on marque à quelqu’un sa colère, avec l’intention de lui faire craindre le mal qu’on lui prépare. Avertissement, intimidation.

La menace ne contredit pas la notion de liberté que nous avions considérée comme étant au fondement du pouvoir. Menacer quelqu’un pour qu'il fasse quelque chose, ce n'est pas le forcer à le faire, si par " forcer " on entend faire faire par la force, c'est-à-dire en employant sa force pour faire céder ou plier une autre force. Forcer ou contraindre, c'est non pas faire vouloir faire, mais c’est un pur faire-faire au sens de faire accomplir un acte en l'accompagnant, de force. C'est de l’ordre de la nécessité mécanique et pas de l'ordre du pouvoir parce que le pouvoir suppose volonté et liberté.

En premier lieu, le pouvoir se présente toujours comme une relation instaurée dans un groupe entre des individus. Cette relation est une dialectique du commandement et de l’obéissance. Commander, c’est imposer sa volonté; obéir, c’est reconnaître la volonté d’un autre et se soumettre à ses exigences.

- Mais le commandement est un phénomène de domination quand l’obéissance doit être analysée en terme de soumission : l’obéissance est active car elle effectue réellement ce qu’on lui demande de faire; le commandement, au contraire, est passif dans la mesure où il se contente d’astreindre des individus à l’exécution de ce qu’il désire et qu’il croit être le meilleur.

C’est le général qui déclenche la bataille, mais c’est le soldat qui se bat; c’est le maître qui exige, mais c’est l’esclave qui travaille. La domination implique donc que le commandement soit accepté, que la sujétion soit reconnue comme légitime.

Dominer, c’est manifester concrètement l’exercice de la puissance, à travers un contrôle social et des normes et contraintes intériorisées et acceptées.

Introduction : le pater familias, la fin d'un modèle ?

Analyser les transformations du pouvoir paternel depuis les années 1960 ; définir les notions d'autorité et de démocratie

familiale. Document 1.

I. Le pouvoir ne repose-t-il que sur la contrainte ?

A. Le pouvoir est souvent basé sur la contrainte

Définir la notion de pouvoir ; distinguer pouvoir d'injonction et pouvoir d'influence ; montrer que dans les démocraties,

le pouvoir politique s'appuie à la fois sur la contrainte et le consentement. Documents 2 et 3.

B. Mais pour durer il doit être légitime

Distinguer les différentes formes de légitimité du pouvoir selon Max Weber ; montrer que la légitimité de type

rationnel-légal est caractéristique des démocraties. Document 4.

II. Le pouvoir est-il toujours accepté ?

A. Un pouvoir légitime est généralement accepté

Montrer, à travers l'expérience de Milgram, que l'acceptation d'un pouvoir légitime peut prendre la forme d'une

soumission aveugle et que la division du travail favorise l'obéissance. TD n° 1 : la soumission à l'autorité.

B. Mais il peut être contesté

Montrer qu'un pouvoir, même légitime, peut être

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