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Discours Sur La Methode Descartes

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dans des manuels, les sciences qu’on lui enseignait étaient trop incertaines, il n’avait en tête que sa quête de la vérité.

C’est pourquoi Descartes décida de commencer à voyager en se mêlant à d’autres civilisations, en rencontrant des personnages complètement différents de lui et en apprenant d’eux. Ce qu’appris alors Descartes fût la tolérance, ne pas prendre sa société ni ses coutumes comme exemple en dénigrant les autres sociétés. Descartes s’ouvrit au monde mais aussi sur lui-même et en appris par ses années de voyages peut-être plus qu’il ne l’aurait fait dans son école.

Deuxième partie

Confronté seul à ses pensées Descartes commence à mettre au point sa méthode pour trouver la vérité, c’est autour de son principe que sera axé principalement la deuxième partie du Discours de la méthode.

Descartes commence sa réflexion sur l’idée q’une œuvre réalisé au fil du temps par plusieurs personnes n’atteindra que très rarement – voir jamais – le niveau de perfection d’une œuvre d’un seul homme qui a tout prévu dès le départ, c’est ainsi que Descartes corrobore son argument en prenant l’exemple de la religion qui est l’œuvre d’un seul être selon Descartes : Dieu.

Descartes décide donc d’effacer de sa « créance » tout ce qu’on avait pu lui enseigner jusque là, afin de commencer un travail fastidieux ; celui de tout examiner, de examiner avec sa raison afin d’établir ses vérités, afin de ne plus être hanté par des affirmations peut-être fausses qu’on lui avait enseigné auparavant.

Cependant Descartes ne conseille pas sa méthode à deux types de personnes qui représentent pour lui la majorité des gens : les précipités, c'est-à-dire les gens qui pensent pouvoir aller plus vite que les autres et qui s’ils n’avaient pas les « vieux fondements » dont Descartes veut se débarrasser, n’avanceraient tout simplement plus et s’enfonceraient. Mais également les personnes qui pensent par modestie que d’autres personnes plus savantes sont plus à même qu’elles de discerner le vrai du faux.

Descartes veut dès lors revoir toutes les sciences, se séparer des préceptes les plus basiques afin de ne garder que ce qui lui semble être la pure et simple vérité. Pour cela il met en place trois principes le premier étant de ne jamais considérer un avis comme une vérité, mais bien de l’analyser afin d’éviter faute de précipitation la tromperie. Le deuxième étant de diviser les difficultés le plus possible afin de mieux les examiner. Enfin Descartes veut mettre en ordre ses pensées, et commencer par les choses les plus basiques pour s’élever ensuite.

Troisième partie

Pendant ce fastidieux travail qui prendrait à Descartes beaucoup de temps, celui se vît obligé de se former une « morale par provision », c'est-à-dire quelques maximes qu’il suivrait avant d’arriver à la vérité.

La première de ces maximes étant de ne pas aller à l’encontre de la loi, de la respecter, de suivre les opinions communes les plus modérées, et même si d’autres opinions dans d’autres pays étaient plus justes, il lui semblait plus logique de suivre celles du milieu qui l’entourait. Descartes choisit donc ici de ne pas aller vers les extrêmes d’adopter une position modérée qui comporte un avantage indéniable puisqu’il n’aurait pas à changer totalement d’opinion s’il s’avérait que l’opinion provisoire soit fausse.

Sa deuxième maxime était de ne pas changer d’avis même si son opinion paraissait douteuse, de la suivre jusqu’au bout et d’en assumer totalement la portée, il fallait là être déterminé. De les considérer comme vraies, afin d’éviter la stagnation en changeant perpétuellement d’avis. La détermination étant le seul moyen d’atteindre un but.

Dans sa troisième maxime, Descartes reprend l’idée des stoïciens qui arrivaient à désirer que ce qu’ils étaient sûrs d’avoir, la seule que nous sommes sûrs de détenir sont nos pensées ainsi Descartes ne veut ici désirer que ce qu’il est sûr de pouvoir obtenir, le désir étant un vice qui nous détruit peu à peu, en se fixant des limites, c'est-à-dire en ne désirant que ce que l’on a, nous vivons beaucoup mieux comme l’explique ici Descartes.

Après avoir cumulé ces maximes à la foi, Descartes décide de se défaire de toutes ses autres opinions. Les neuf années suivantes Descartes continu ses voyages en observant simplement tout ce qui l’entourait et en s’efforçant de détruire tous les préjugés qu’il avait acquit durant son adolescence. Descartes doutait pour trouver la vérité. Cependant, après ces neuf années, Descartes ne s’est toujours pas efforcé d’entreprendre la difficile tâche de revoir entièrement la philosophie scolastique afin d’en trouver des vérités. Descartes décidé donc de se retirer et de s’isoler afin de répondre à la réputation qu’on lui donnait en commençant à chercher des vérités.

Quatrième partie

Dans sa recherche de la vérité absolue, Descartes découvre une vérité indéniable, le cogito : « Je pense donc je suis », en effet, des que l’on essaye de le nier, on ne fait que corroborer la formule, puisque dès qu’on essayer d’en trouver la fausseté et que l’on y réfléchit, que l’on pense, on « est » nécessairement c’est ainsi que Descartes pose cette vérité absolue comme fondement de sa philosophie parfaite.

Ne pouvant prouver que nos corps existent, que le monde qui nous entoure et bel et bien réel Descartes en déduit qu’il n’est qu’une substance totalement indépendante du corps (dualisme).

Descartes déduit ensuite de son imperfection en comparaison à Dieu, l’existence d’autres personnes plus parfaites dont il dépendait car s’il était seul il aurait pu atteindre de lui-même la perfection.

En parcourant la géométrie ensuite, Descartes se rendit compte que les propriétés que l’on donnait par exemple aux triangles ne prouvaient en rien leur existence.

Si les gens ne croient pas en l’existence de Dieu, c’est pour Descartes parce qu’ils n’élèvent pas leur imagination au dessus des « choses sensibles », ainsi ce qu’ils n’arrivent pas à se reproduire dans leur imagination ne peut exister.

Descartes critique ensuite l’assurance morale qui pose des fondements incertains, comme l’existence de notre monde. Ainsi nous ne pouvons les croire comme vraies qu’en supposant l’existence de Dieu, celui-ci étant vérace ne peut nous tromper quant à nos pensées. Pour Descartes en niant l’existence de Dieu, nous ne pouvons en aucun assurer que ces pensées sont vraies.

Cinquième partie

Dans cette partie Descartes Nous montre l’évolution de sa méthode, celui réfléchis, quant à la création du monde en plaçant Dieu au centre de ses arguments, qui restent très vagues et peu approfondis par crainte de choquer

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