Module 5

Ce soin s’exécute sur le bassin dans le lit, par l’infirmière assisté par une aide soignante. A la fin de ce soin, l’infirmière partit de la chambre, je propose a Mme G. de se lever et de passer dans le cabinet de toilette pour faire sa toilette au lavabo. Elle acquiesce, me demande de l’aidé à sortir du lit car n’y arrive pas toute seule. Je lui tends mon bras et lui demande de s’assoir au bord du lit, ce qu’elle fait mais se met à pleurer. Je lui demande ce qui ne va pas et si je lui ai fait mal. Elle m’a répondu que non je ne lui avais pas fait mal, mais elle m’explique que lorsqu’ elle sort de son lit ou qu’elle s’assoit, la douleur se réveil. Suite à son transfert, elle me demande d’aller au toilette, je lui propose le Montauban car les toilettes sont trop hautes pour elle, car c’est une dame de petite taille. Puis elle me dit : « j’en ai marre d’être comme ça, vous devez en avoir marre aussi car je vous embête, j’aimerais mourir. ». Je lui ai répondu : « Vous ne m’embêtez pas du tout, je suis la pour vous, vous ne devez pas hésiter à m’interpeller si vous avez besoins de quelque choses. Je suis élève aide soignante, et je suis disponible si vous avez besoins…» Elle me confit ensuite qu’elle pensait que son mari devait en avoir marre de s’occuper d’elle.

En entendent c’est propos, je l’ai rassuré, mais par la ensuite j’ai esquivé la conversation car je ne me sentais pas à mon aise du fait que ces un sujet très sensible et ne sachant pas se que pensait son mari, je trouvais la discussion délicate et compliqué. Je l’ai donc questionné tout en restant sur le sujet de sa famille, sur le métier de son mari, elle me confia qu’il était en retraite. Je lui ai demandé si elle avait des enfants. Elle me parla de ses trois garçons, dont un petit fils. J’ai remarqué que quand elle m’a évoqué qu’elle avait un petit fils, son visage c’est illuminé et le sourire lui est revenu. Elle me confia aussi que son cadet était aide soignant et qu’il travaillait dans un hôpital, qu’il avait fait il y a quatre ans la formation pour le devenir.

Mais après ces dialogues partagés avec cette patiente, la discussion a été interrompue par la venue d’une aide soignante qui est entré dans la salle de bain.

Après le soin, j’ai transmis a l’équipe que Mme G. avait pleuré pendant la toilette. Je leur ai expliqué sa douleur par rapport a son néo-vulvaire, ainsi que ses ressentit par rapport a moi et a son mari. Les infirmières et les aides-soignantes ayant déjà eu à s’occuper de cette patiente, m’on confier que ce n’était pas la première fois qu’elle pleurait lorsqu’elle se mobilisait et qu’elle disait ces paroles.

2) Analyse

J’ai choisi cette situation, parce qu’elle me semble importante dans parler car je n’ai pas su quoi répondre au propos de la patiente, sur le fait qu’elle veule mourir et qu’elle me parle de ses craintes sur les disponibilités de son mari. Lorsqu’elle évoque que son mari doit en avoir mare de s’occuper d’elle.

Ce qui a déclenché ce dialogue, est tout d’abord lors du transfert, qui a provoqué chez la patiente une douleur lié à sa maladie.