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Hôtel Bristol New York N.Y, Michel Tremblay

Dissertation : Hôtel Bristol New York N.Y, Michel Tremblay. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  13 Octobre 2021  •  Dissertation  •  660 Mots (3 Pages)  •  365 Vues

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Dans la seconde partie du 20ième siècle, un courant littéraire néonationalisme se fait remarquer dans la littérature franco-canadienne en abordant des thèmes liés à l'identité culturo-linguistique des québécois, ainsi que des sujets liés à l’indépendance. Dramaturge québécois, Michel Tremblay a écrit de nombreuses pièces mettant en évidence la culture linguistique du Québec. Dans ses romans, il utilise des expressions propres à la culture québécoise. En 1999, il publie «Hôtel Bristol New York N.Y» abordant les difficultés familiales du personnage principal. Nous analyserons comment Jean-Marc perçoit son frère Richard, puis la réaction qu'entraîne chez lui cette perception. Nous verrons que celui- ci à une perception négative de son frère et en raison de son comportement à des réaction agressive à son égard.

Tout d’abord, dans la pièce de Michel Tremblay, il ressort que Jean-Marc à un perception assez négative de son frère Richard. On peut voir que le comportement de son frère qui ne se renseigne pas sur certaines informations fait que Jean-Marc le critique :«[...]qui sait tout sans avoir jamais rien appris[...]»(l.20). Dans cette hyperbole, Jean-Marc nous fait comprendre qu’il perçoit vraiment son frère comme quelqu’un qui croit tout savoir. Il exprime l'exagération que son frère lui donne en ne commentant des sujets dans lesquels il ne prend pas nécessairement la peine de se renseigner. Il qualifie aussi son frère d'ignorance “crasse”,(l-13), “imbu de lui-même” (l.13), “niaiserie”(L.29),antisémitisme(L.41).Son petit frère utilise plusieurs termes pour exprimer le comportement ignorant que son frère peut avoir en prétendant connaître des sujets et placé des commentaires pas nécessairement véridiques. De plus, le frère de Jean-Marc exprime des faussetés:«[...]lorsqu’il se permettait de parler littérature alors que je ne l’avais presque jamais vu lire ou au cinéma alors qu’il ne s’y rendait jamais[...]»(l.14-15). La répétition du mot « jamais » insiste sur le fait que Richard exprime des choses dont il ne connaît pas la vérité et fait entendre que cela énerve Jean-Marc que son frère ne prenne même pas la peine de se renseigner avant de discuter d’un sujet. Bref, Jean-Marc perçoit son frère comme quelqu’un d’assez ignorant ayant une audace de penser tout savoir.

En second lieu, la perception négative que le protagoniste a de son frère peut expliquer la réaction semblant furieuse qu’il éprouve à l’égard des comportements de son frère. En effet, on peut apercevoir que Jean-Marc va exprimer des gestes pouvant sembler assez brusques par rapport au discours de son frère pour montrer son désaccord avec celui-ci. “Si nous étions à table, ce qui arrivait très souvent, je posais mon couteau, ma fourchette, je croisais les bras en m’appuyant sur le dossier de ma chaise

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