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L'Efficacité D'Une Politique Fiscale Se Rapprochant De La Rigueur Et Un Plan Social Efficace.

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cale se rapprochant de la rigueur et un plan social efficace. Nous verrons qu’à court terme ce plan sera plus moins compétant socialement que profitable économiquement, mais, dans une seconde partie, qu’à long terme et dans de bonnes conditions, cette politique pourrai remplir ses objectifs.

A court terme, on peut voir que tous les méthodes iraient à contresens de l’objectif final.

Dans la théorie, on pourra voir apparaitre un frein à la croissance, les dépenses publiques seraient baissées, entrainant avec une baisse des salaires pour éviter la non rentabilité des entreprises pour éviter la hausse des prix. Les entreprises gagnent en compétitivité mais une baisse du pouvoir d’achat serait malgré tout effective mais évitant la mise en place d’un cercle vicieux avec un hausse des prix. Cette baisse de la croissance est censée être accompagné d’une baisse des « aides » de plan social, globalement une réduction des dépenses publiques telles que le nombre d’emploi de la fonction publique ou le gel des salaires ou encore la hausse des impôts et la baisse de pouvoir de l’état providence. A court terme, une politique fiscale de redressement entravera complètement le plan social de l’état. Ces facteurs montrent l’énorme limite d’un plan de rigueur qui dans le cas actuel consisterait à faire une crise alors qu’une autre est déjà là. De plus, on peut voir que ces éléments peuvent mettre en place un manque de confiance global envers l’état et la monnaie (à cause d’autres éléments extérieurs propres à la crise de 2008). On peut même voir qu’au sein même du gouvernement, la « rigueur est le mot qui fait peur », alors que François Fillon confirme la politique de non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux dans la fonction publique et le gel des salaires mais Nicolas Sarkozy, lui, explique qu’il n’y aura pas de politique de rigueur car cela se traduirai par l’augmentation des impôts. Pourtant quelques en soit son nom, la politique durcit par le premier ministre consiste à baisser les dépenses publiques sans faire bouger les impôts. Cette politique ayant des objectifs à log terme à quelques mois de l’élection présidentielle le gouvernement n’utilisera un plan d’austérité à son plein potentiel, en particulier à couper les dépenses publiques pour une politique électoraliste, alors que dernièrement, on a pu voir que les politiques de rigueur qui ont marché (nous citeront la Suède et le Canada), ont porté à prêt de 80% la baisse des dépenses publiques. Le plan social prend le dessus sur le plan d’austérité à cause de la politique électoraliste ce qui risque d’aggraver les perspectives économiques en repoussant le problème. De plus, on peut voir que les prévisions portent justement à baisser tout ce qui est social, on pourra parler en premier lieu de l’âge légal de la retraite à 62 ans qui était prévu pour 2018 a été avancé à 2017 voir 2016. On pourra aussi parler du débat sur la désindexation des prestations sociales sur le

l’inflation prévisionnelle et donc une baisse certaine de ce dernier car on voudra que son évolution n’aille plus vite que celle du PIB associé à une augmentation de la participation de la sécurité sociale et autres mutuelles. On a pu voir dernièrement l’UNEF faire signer une pétition pour empêcher l’augmentation de la taxation des mutuelles de 7 points (de 6% à 13%).

On a pu voir qu’entre la théorie et les faits actuellement, la conciliation de ces deux plans parait impossible car chacune prend le pas sur l’autre. A Long terme pourtant la tendance pourrait s’inverser

L’objectif d’un plan de rigueur est à long terme et passe par la restauration des comptes publics et un l’équilibre social et économique. Tout d’abord, à long terme, la baisse des dépenses publiques permettent une baisse de l’inflation avec une stabilité du taux de change et un retour de confiance dans l’économie du pays permettant un effet radicalement inverse qu’à court terme la compétitivité économique permet la création d’emploi et donc une hausse des salaires due à une reprise de la croissance et de l’investissement. La Banque Centrale augmentant actuellement son taux d’intérêt directeur, cela permettrai à d’éviter le surinvestissement et donc les bulles spéculatives. La baisse du déficit public permettrai à la France de plus amples moyens d’actions (tel que garder son triple A), ce qui permettrai à terme une politique plus de relance, de creuser cette fois-ci les dépenses publiques pour relancer complètement une croissance économique, la consommation et surtout raugmenter le budget de plan sociaux qui furent baisser à court terme. Ainsi on peut donc voir à long terme que les politiques fiscales de désendettement peuvent être conciliées, du moins dans la

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