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Étude de cas : Aréva.. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  6 Novembre 2016  •  Étude de cas  •  1 368 Mots (6 Pages)  •  938 Vues

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Problème économique :

Le géant français de l'atome, détenu à près de 87% par des capitaux publics donc l‘état, a accusé une perte nette de près de 5 milliards d'euros l'an dernier, après trois années dans le rouge. Pour notre premier fait d’actualité, on va vous parlez des problèmes économique d’Areva, pour comprendre la cause de ces problèmes il faut remonter un peu le temps. Nous allons voir les quatre causes principale de ce mal être économique.

Fukushima : En 2011, au Japon a lieu « la catastrophe de Fukushima » cet événement à appuyer sur les problème liés au nucléaire dans le monde entier et à entrainer un phénomène de peur du nucléaire et un ralentissement du marché qui a conduit les gouvernement qui avaient passer commande auprès d’Areva, notamment allemands et japonais qui représentaient 17.5% de la valeur du carnet de commande, on décommander ce qui a entrainé une perte de prêt 200 millions d’euros. Fukushima a aussi conduite l’état français à obliger Areva à faire un contrôle de toutes ses centrales françaises, et l’Autorité de Sureté Nucléaire lui a imposé de nouvelles normes (notamment pour les dangers de séisme et d’inondation) pour les bâtiments des sites nucléaires, ainsi à Tricastin, Areva a investi 120 millions d’euros pour adapter le complexe. Ce qui est une somme considérable et ce seulement pour un site !

UraMin : Entreprise canadienne d’exploitation minière de l’uranium, racheté par Areva en 2007 pour 1,8 milliard d’euros qui s’est traduit par une perte de 3 milliards d’euros pour le géant français.   http://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2014/12/10/areva-et-la-tenebreuse-affaire-uramin_4537929_1655027.html

L’échec de L’EPR : La question de l’EPR est un sujet assez sensible, en effet Areva ne fait qu’accumuler les retards. On peut parler de l’EPR de Flamanville : Le 3 Septembre dernier le PDG d’EDF Jean-Bernard Lévy, a annoncé un nouveau report de la mise en service de l’EPR et une réévaluation de son coût final. Le premier réacteur nucléaire  français de troisième génération, et il devrait finalement coûter10,5 milliards d’euros, très loin des 3 milliards d’euros du devis initial. Le chargement du combustible et le démarrage du réacteur ne devraient donc pas ce faire avant fin 2018, soit avec près de sept ans de retard. Au-delà du chantier de Flamanville, l’avenir commercial de l’EPR dépend surtout de son optimisation car après Plus de vingt ans après le lancement du programme, Areva n’en a vendu que quatre, à Flamanville, en Finlande et en Chine qui elle s’apprête à développer son propre EPR. Afin de rendre l’EPR plus compétitif, Fin juillet EDF et Areva ont annoncé la création d’une entité conjointe chargée d’optimiser l’EPR et de réfléchir à d’autres produits.

Les rapports avec EDF :Le redécoupage et le partenariat annoncé avec EDF ne rassurent guère les 45 000 salariés du mastodonte français de l'énergie nucléaire. Et les experts se montrent perplexes. Normal : si, depuis plusieurs années, ce secteur stratégique accumule les déboires. Donc comme nous l’avons dit toute a l’heure Areva à une perte supérieure à 5 milliards d'euros et pour remettre l'entreprise à flot, son principal actionnaire, l'Etat, a pris une décision historique et c’est de la couper en deux. D'un côté, les activités liées à l'uranium ( tous ce qui est mines, fabrication du combustible, retraitement des déchets, etc.)  et de l'autre tout ce qui est  conception et la fabrication des réacteurs, l'ingénierie et la maintenance, un ensemble qui va passer sous le contrôle d'EDF.

La-Hague :

Maintenant qu’on vous a montré les problème économique q’Areva traverse on va vous parlez d’une  conséquence de ce mal-être économique, et vous avez surement du en avoir entendu parlé c’est le plan social qui prévois la suppression de 3000 à 4000 postes en France sur les 5000 à 6000 prévu au total dans le monde ce qui représente 15% de l‘effectif total. Donc pour commencer on va voir ce qu’il en est de ce plan social.  Donc ce plan qui est appeler «contrat triennal de transition pour l’investissement et la sauvegarde économique du groupe» que masquer un peu le fait que ce soit un plan social même si tout le monde le sait. est fait dans le cadre d’un plan d’économies de 1 milliard d’euros d’ici 2017  dont 600 millions supporté par la masse salariale afin de restaurer la compétitivité du groupe, il devrait permettre de réduire les coûts de personnels de 15% en France et 18% dans le monde. D’après Bruno Blanchon, un responsable CGT du groupe il s’agit du  « plus lourd dans toute l’histoire de la filière nucléaire française ». On ne connait pas encore quel seront les modalités mais la direction entend privilégier les départs volontaires mais même avec des départs volontaires il y aura obligatoirement des licenciements.

Pour notre exposé on va plutôt ce concentré sur le site de Beaumont-la-Hague qui Hague regroupe six « installations nucléaires de base ». L’an dernier, le site a traité 1.217 tonnes de combustible usé ce qui représente une hausse de 4 % par rapport à l’année précédente mais qui reste encore très loin de sa capacité de production maximale qui est de 1.700 tonnes, un niveau seulement atteint à la fin des années 1990. Avec la perte d’activité en provenance d’Allemagne et du Japon suite à l’accident nucléaire de Fukushima en 2011, l’essentiel des recettes est aujourd’hui lié à EDF. Après des mois de négociation, les deux groupes sont parvenus à un accord « baptisé ATR 2013-2020 » , pour traiter environ 1.120 tonnes de combustible usé par an, soit une prise de commandes supérieure à 5,5 milliards d’euros pour Areva. Pour en revenir au plan social, il faut comprendre que le site de La-Hague est le premier employeur du Cotentin avec 3200 emplois. Et que cette annonce de suppression de postes est d’autant mal vécu qu’en janvier dernier la direction avait déjà annoncé la suppression de 500 postes d’ici à 2019. Le site avait aussi déjà perdu 50 postes dans le recyclage en 2014 et sur les 500 postes supprimer, 100 d’entre eux son encore prévu dans la branche recyclage. Ce qui est dramatique c’est qu’au-delà des 500 postes supprimer, cette mesure menace également les sous- traitants de La-Hague soit 2000 autres emplois.  

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