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ut : l’emprunt de la holding est intégralement payé par le résultat de la cible (ce qui explique que les sociétés cibles choisies soient des entreprises rentables ou potentiellement rentables. Or, le repreneur n’a utilisé qu’un minimum de fonds propres (ceux qui sont nécessaires à la constitution de la holding).

- Deuxièmement, un effet de levier fiscal : la holding pourra déduire de l’impôt sur les sociétés les intérêts de l’emprunt si elle détient une forte participation dans la société cible.

Les LBO suscitent des débats, notamment sur leur utilité économique et sociale. Selon les critiques ils profitent de l’abondance de la liquidité, et ils ont tendance à endetter les entreprises. Mais les effets positifs dus à l’amélioration du management des entreprises et l’apport de moyens pour investir semblent l’emporter. Une étude récente publiée par l’AFIC ( Association Française des Investisseurs en Capital) en 2007* fait état de l’apport bénéfique des LBO en France, du moins en matière de croissance du chiffre d’affaires des entreprises sous LBO (5,6 % en moyenne annuelle) et des effectifs salariés (4,1 % par an), et précise que l’amélioration des conditions sociales constitue l’un des principaux leviers de création de valeur (qui est le but du LBO).

L’une des sources indispensables d’un LBO est l’emprunt. Or, la crise des subprimes a causé un déficit de liquidités pour les banques et a de ce fait renchéri le coût du crédit. Pour ces raisons, un ralentissement net du marché du LBO s’est fait sentir ces derniers mois : au quatrième trimestre 2007, le montant des LBO en Europe s’élevait à 21 milliards d’euros, enregistrant un recul de 50 % par rapport au troisième trimestre de la même année. Une tendance qui parait devoir se prolonger en 2008.

3/Indice boursier CASA ?

MADEX-MASI-CFG25

4/Capitalisation boursière ?

La capitalisation boursière est la valeur de marché de l'ensemble des actions en circulation d'une société par actions. C'est donc le prix qu'il faudrait payer s'il était possible de racheter toutes les actions d'une société à leur cours de marché actuel. Lorsqu'un investisseur désire acquérir 100 % des actions d'une société, il doit généralement payer plus que le cours du marché pour inciter les actionnaires actuels à lui vendre leurs actions.

La théorie économique permet de relier capitalisation boursière et profits futurs de la société. Si l'on suppose que les actionnaires recherchent uniquement leur profit financier et que les marchés fonctionnent de manière efficiente, la capitalisation boursière dépend de deux choses uniquement : des profits futurs attendus pour les actionnaires, et du risque financier qui lui est associé. La capitalisation boursière sera d'autant plus élevée que les profits attendus sont élevés. À espérance de profit égale, plus les prévisions sont incertaines, moins la capitalisation boursière sera élevée.

5/ Comment est défini un indice ?

Un indice boursier est une mesure statistique calculée par le regroupement des valeurs des titres de plusieurs sociétés. L'indice boursier sert généralement à mesurer la performance d'une bourse ou d'un marché.

La performance d'une bourse est habituellement mesurée par plusieurs indices :

• un indice principal qui mesure la performance globale de la bourse ; cet indice est calculé à partir de la majorité de compagnies inscrites à cette bourse ou à tout le moins la majorité des grandes compagnies inscrites à la bourse ;

• des indices sectoriels qui mesurent la performance d'un sous-ensemble de compagnies ayant des caractéristiques communes ; ces indices sont calculés à partir des compagnies incluses dans le sous-ensemble visé (par exemple, les compagnies d'un secteur d'activité comme les télécommunications ou les compagnies de taille semblable comme les petites compagnies).

Quand on dit qu'une bourse est en hausse ou en baisse, on se réfère généralement à son indice principal, par exemple le CAC 40 pour la bourse de Paris.

Certains indices reflètent l'activité économique d'une région et comprennent des sociétés cotées sur différentes bourses. Ces indices sont en général publiés par des sociétés indépendantes. Par exemple, le Dow Jones Industrial Average et le S&P 500 contiennent des sociétés cotées sur les trois bourses de New York : le NASDAQ, le New York Stock Exchange et l'American Stock Exchange.

6/Mission gérant de fonds ?

Le principe est toujours le même : plusieurs acteurs (banques, assurances, investisseurs…) confient à un fonds une somme à placer et à faire fructifier. Ensuite il existe plusieurs types de fonds : certains effectuent des placements financiers classiques (boursiers, monétaires, etc.) pour des compagnies d’assurance ou des banques ; d’autres fonds de types industriels, prennent des participations dans les entreprises. Le gérant de fonds est aux manettes : c’est lui qui va faire les choix de placements. Dans les fonds industriels, le rôle du gérant de fond est plus large : c’est lui qui va devoir convaincre les investisseurs en amont, afin de lever des fonds : de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de millions d’euros. Puis il va investir cet argent en respectant des critères précis définis avant la levée : délai maximum pour placer l’argent, nombre de deals minimums et maximums, types de marchés et de sociétés visés. Il devra identifier la cible la plus intéressante, en analysant dans le détail ses comptes, pour être sûr de son potentiel de revente après 3 à 5 ans.

7/hedge funds ;les reproches ?

Les hedge funds sont des fonds d’investissement d’un type particulier. Il n’existe pas de définition légale, précise et formelle du terme. Le terme lui-même est trompeur. La traduction littérale en français est « fonds de couverture », c’est-à-dire se livrant à des placements de protection contre les fluctuations des marchés considérés. Une telle définition devrait les faire pencher du côté des fonds sans risque ; or, au contraire il s’agit de fonds particulièrement risqués, beaucoup plus risqués que les fonds communs de placement (OPCVM) .Pourquoi ?

Ils sont peu ou pas réglementés. A la différence des fonds d’investissement destinés au grand public, une part importante des fonds peut être investie en actifs illiquides ou complexes. Ils utilisent massivement les techniques permettant de spéculer sur l’évolution des marchés, à la baisse comme à la hausse (utilisation massive de produits dérivés, de la vente à découvert et de l’effet de levier). Ils sont peu transparents et souvent implantés dans les paradis fiscaux.

Leurs gérants y investissent une part de leur patrimoine et prélèvent des commissions très importantes en fonction de la surperformance du fonds. Cela les incite à faire prendre aux fonds des risques de marché importants.

8/ krach boursier ?

Un krach est une chute brutale et de grande ampleur des cours d’une ou de plusieurs catégories d’actifs. On parle de krach boursier pour désigner un effondrement des cours des actions sur une ou plusieurs places financières.

Mais des krachs obligataires ou immobiliers ont également existé de façon indépendante ou liée à des krachs boursiers.

Le mot vient de l’allemand (il signifie « vacarme », « accident »). Il a été utilisé pour la première fois dans ce sens lors de l’effondrement des cours à la bourse de Vienne en mai 1873, effondrement qui s’est diffusé à la bourse de Berlin et à celle de New York.

A partir de quand une chute des cours peut elle être qualifiée de krach ?

Une chute des cours peut être qualifiée de krach si elle est brutale et massive et si elle concerne une catégorie d’actifs et pas une seule entreprise. Elle s’observe à travers l’évolution fortement négative des indices représentatifs de l’ensemble des actifs considérés (par exemple l’indice CAC 40 représentatif des actions cotées à la bourse de Paris, l’indice Dow Jones représentatif des actions des entreprises industrielles cotées à la bourse de New York ou l’indice Nasdaq représentatif des actions des entreprises de nouvelles technologies..). Il y a krach lorsqu’il y a chute forte et rapide traduisant un phénomène de panique ou de débâcle (tout le monde vend, personne n’achète). Mais il n’y a pas de norme générale concernant l’ampleur et la durée de la chute permettant d’identifier avec certitude l’existence d’un Krach. Il faut notamment tenir compte de la taille et de la liquidité des marchés concernés.

9/Action/Obligation ?

La principale différence entre action et obligation réside dans leur nature et les caractéristiques qui en découlent. Comparée à l'action, l'obligation, privée ou d'Etat, est un investissement moins risqué mais aussi moins rentable. Au moment de vous décider pour l´un des 2 produits, vous devrez donc faire un arbitrage entre risque et rendement. L'autre paramètre sera la couleur du ciel économique. Le ciel bleu est propice à l'action, l'orage des marchés appelle l'obligation.Les

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