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Madame Bovary Résumé

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e fille. À l'époque de la Saint Michel il se décide à la demander en mariage. La noce est fixée au printemps suivant. L'hiver sera occupé par les préparatifs. (Emma aurait désiré se marier à minuit aux flambeaux).

Chapitre 4 : La noce (p.83 à 92)

Description et récit mêlés : l'arrivée des invités, le cortège, la table (description détaillée de la pièce montée), le départ des invités, la nuit de noce, le retour à Tostes.

Chapitre 5 : Première déception d'Emma (p.92 à 97)

La maison de Charles ; il découvre dans mille petits détails le bonheur près d'Emma. Mais la jeune femme est loin de faire semblable découverte. La réalité ne correspond pas à ce qu'elle a lu dans ses livres. « Avant qu’elle se mariât, elle avait cru avoir de l’amour ; mais le bonheur qui aurait du résulter de cet amour n’étant pas venu, il fallait qu’elle se fut trompée, songeait-elle. Et Emma cherchait à savoir ce que l’on entendait au juste dans la vie par les morts de félicité, de passion et d’ivresse, qui lui avaient paru si beaux dans les livres ».

Chapitre 6 : L'éducation et les rêves de la jeune Emma au couvent (p.97 à 105)

Par un retour en arrière, le chapitre évoque l'influence de la littérature, des images et du couvent sur " un tempérament sentimental ". Emma à lu Paul et Virginie, des romans de Walter Scott, s'est délectée de livres pieux, de romans sentimentaux et historiques, de poèmes romantiques, de chansons (anges aux ailes d’or…). Elle a rêvé devant des images pieuses, des assiettes peintes (l’histoire de mademoiselle de La Vallière favorite de Louis XIV), des gravures anglaises ou exotiques représentant des scènes d'amour.

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Chapitre 7: Les réalités de la vie conjugale (p.105 à 113)

Charles s'émerveille de trouver en Emma une épouse accomplie, sachant aussi bien conduire convenablement son ménage, que dessiner, jouer du piano, recevoir avec élégance Mais il est, pour son compte, totalement dépourvu de mystère et de raffinement. « Un homme au contraire, ne devait-il pas tout connaitre, exceller en des activités multiples, vous initier aux énergies de la passions, aux raffinements de la vie, à tous les mystères ? Mais il n’enseignait rien, celui-là, ne savait rien, ne souhaitait rien. » (p.107) La jeune femme que l'ennui menace doit se heurter, de plus, à l'hostilité jalouse de sa belle-mère. « Pourquoi, mon Dieu ! me suis-je mariée ? » (p.111) À la fin de septembre, pourtant, un événement vient rompre la monotonie de son existence : les deux époux sont invités à un bal à la Vaubyessard, chez le Marquis d'Andervilliers.

Chapitre 8: Le séjour au château de la Vaubyessard (p.113 à 127)

Description du château ; dîner, bal, souper. Emma, émerveillée, découvre un autre monde. Le retour à Tostes est silencieux et morose. Dès le lendemain la jeune femme se réfugie dans le souvenir de ce bal.

Emma, émerveillée, découvre le luxe et l'élégance du monde aristocratique. Ce monde enchanté auquel elle a tant rêvé lui fait oublier un instant ses origines paysannes. Hélas, le rêve est éphémère et le retour à Tostes, silencieux et triste. Dès le lendemain, il lui faut subir les conversations banales de Charles. " Son voyage à la Vaubyessard avait fait un trou dans sa vie, à la manière de ces grandes crevasses qu'un orage, en une seule nuit, creuse quelquefois dans les montagnes". (p.126) Emma se réfugie dans "le souvenir de ce bal".

Chapitre 9: Les rêveries d'Emma (p.127 à 141)

Ce qu'elle vient de vivre offre un nouvel aliment à l'imagination d'Emma. Emma rêve devant le " porte-cigares tout bordé de soie verte" que Charles a ramassé sur le chemin du retour. Elle imagine que cet objet appartient au "Vicomte". Emma rêve aussi de Paris et se met à lire Balzac, George Sand et Eugène Sue. Mais rien ne peut assouvir ses désirs vagues et elle s'irrite de plus en plus de la sottise absolue de son mari. Les saisons se succèdent, l'ennui s'accroît et le caractère de la jeune femme s'altère- Un an et demi après le bal de la Vaubyessard, on lui trouve une maladie nerveuse et Charles, qui est resté quatre ans à Tostes, doit se résoudre à déménager à Yonville pour " changer [Emma] d'air ". Emma est enceinte quand le ménage quitte Tostes.

Deuxième partie

Chapitre 1: Yonville-l'Abbaye et ses habitants (p.145 à 158)

La situation d'Yonville. L'église, les halles et la mairie, la pharmacie, l'auberge du Lion d'Or. Madame Lefrançois, patronne de l'auberge, prépare le dîner : on attend les Bovary. Monsieur Homais, le pharmacien, est là ; il bavarde inlassablement. Entrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arrive : les Bovary descendent en même temps que Lheureux, le marchand d'étoffes et de nouveautés.

 Critique du curé par Homais (p.155-156)

Chapitre 2: Un dîner au Lion d'Or (p.158 à 168)

Pendant que le pharmacien et l'officier de santé s'entretiennent de l'exercice de la médecine, Emma engage une conversation romantique avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîne avec eux. Ils se confient leurs goûts communs.

Chapitre 3 : Naissance de Berthe ; amitié amoureuse (p.168 à 182)

Emma donne naissance à une fille, qui sera prénommée Berthe. C’est Homais qui est le parrain de Berthe et Madame Bovary mère en est la marraine. Après le baptême, la petite est mise en nourrice, chez Mme Rollet (femme du menuisier). MmeTuvache, la femme du maire, trouve qu'Emma se compromet pour être allée voir sa fille au bras de Léon.

Chapitre 4 : La vie à Yonville (p.182 à187)

La vie se poursuit avec une monotone régularité. Emma guette chaque jour le passage de Léon « souvent elle tressaillait à l’apparition de cette ombre glissant tout à coup. » (p.183). Le dimanche, Homais reçoit : on joue au trente-et-un, à l'écarté, aux dominos, Léon et Emma regardent ensemble L'illustration; on échange des cadeaux. Le jeune homme voudrait déclarer sa flamme à Emma. Sa timidité l'en empêche.

Chapitre 5 : Emma découvre l'amour et ses souffrances (p.187 à 198)

En février, une promenade aux environs d'Yonville pour voir la filature de lin, en compagnie des Homais et de Léon donne l'occasion à Emma d'opposer la platitude de Charles au charme du jeune homme. Elle comprend qu'elle est amoureuse de lui. C'est le lendemain que survient Lheureux pour lui proposer des écharpes, des cols brodés et autres colifichets. Elle résiste à la tentation et s'efforce par la suite d'être une maîtresse de maison accomplie. Son calme apparent cache, en fait, une douloureuse lutte intérieure entre des sentiments violents : amour pour Léon, orgueil de rester vertueuse, haine à l'égard de son mari. (p.196 cf. note 1)

Chapitre 6 : Emma et le curé. Départ de Léon (p.198 à 215)

Un soir d'avril, l'angélus rappelle à Emma le souvenir de son couvent. La religion, peut-être, pourrait l'aider : elle se rend à l'église dans le dessein de confier son trouble au curé. Mais le dialogue entre elle et lui n'est qu'une suite de malentendus grotesques qui laissent la jeune femme aussi malheureuse qu'avant (cf. note 1 page 204). Épisode avec Berthe durant lequel Emma dit « C’est une chose étrange, comme cette enfant est laide ! » Léon de son côté s'enfonce dans la mélancolie. Il décide alors de partir pour Paris et vient faire ses adieux à Emma. Au cours de la soirée qui suit son départ, Homais annonce que des Comices agricoles auront lieu dans l'année à Yonville.

Chapitre 7 : Rodolphe Boulanger (p.215 à 227)

Le chagrin d'Emma s'apaise peu à peu mais les " mauvais jours de Tostes " recommencent. Elle a des malaises, se passe quelques fantaisies, achète par exemple une écharpe à Lheureux. (cf. satire du roman par Madame Bovary mère p.219). Un jour de marché, Rodolphe Boulanger, le nouveau châtelain de la Huchette (p.222), entre en contact avec les Bovary à l'occasion d'une saignée à faire à un de ses fermiers. Il trouve Emma très jolie. Célibataire et coureur de jupons invétéré, il décide aussitôt de la séduire.

Chapitre 8 : Les Comices agricoles (p.227 à 256)

À la mi-août, tout le village est en fête pour la solennité des Comices. (cf. allusion à Lheureux qui fait vendre le Café Français, parce qu’il a assassiné le propriétaire de billets = reconnaissances de dettes. Madame Lefrançois dit que Lheureux est un enjôleur : p.231-232). Rodolphe n'attendait que cette occasion pour faire sa cour à la jeune femme. Il s'arrange pour être

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