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Le Théâtre Contemporain

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’utiliser une langue qui n’existe pas, ne se comprennent pas eux même, et tendent vers des monologues (plutôt apartés voire longues répliques).

Le monologue a toujours existé, c’était de soi à soi, servait à y voir plus clair lors de crises, faisait avancer l’action. Il va changer, ne sert plus à se comprendre, ne permet plus de se voir, persos divisés = impossibilité de se saisir soi même et de communiquer avec son semblable = exprime solitude radicale, angoisse métaphysiques… Ces monologues et quasi monologues, alternent ds théâtre contemporains faux dialogues avec répliques très rapides, reprends stichomythie du théâtre classique.

Stichomythie : (féminin) Au théâtre, une stichomythie est la partie d’un dialogue où les interlocuteurs se répondent vers pour vers (répliques courtes), ce qui produit un rythme particulièrement rapide.

A qui s’adresse l’autre, on ne sait pas, pas de didascalie « si tu me touche, je te tue » (oui mais à qui s’adresse t-il ?) Bcp de perso = fantôme, dénature homme, plus de psychologie.

D’un côté perso trad = cs= discours, oubliant spectateur, fait oublier qu’il est inventer par auteur, ; et autre figure contemporaine traversée par d’autres voix qui semblent s’adresser directement de l’auteur au spectateur (il ne peut oublier qu’il est au théâtre).

Ds théâtre traditionnel parole = action = discours = reflet de sa cs ; dans théâtre contemporain énonciation (ce qui est dit, et comment), du coup attention sur la matière même de la langue plus a entendre qu’à lire = textes qui privilégient l’oralité ; ils ont une rythmique très forte, rarement ponctuée, bloc phonétique (qu’il faut lire à voix haute pour voir), la langue révèle un mal à dire = bcp de silences (Jon Fosse = longs silences), stéréotypes (parle pour ne rien dire= clichés), Parole lacunaires qui fonctionne par implicite.

Par contre ce théâtre s’inspire d’une conversation ordinaire à laquelle on ne fait pas parti = pour faire en sorte que le lecteur ne comprenne pas forcément ellipse … Tellement réaliste que ça en devient étrange, s’ouvre aux bizarreries de l’ordinaire, ex : présence de perso muets ou qui ne maîtrisent pas leurs discours. Non bouclage.

III- Le temps, l’espace et l’action

Les persos ne se repèrent plus dans le temps, car dépossédés de leurs passés et qui n’ont pas d’avenir, plus de chronologie qui ordonne les évènements, plus vraiment d’événement non plus, tout à déjà eut lieu. On utilise souvent la simultané des évènements, don d’iniquité (voyage ds le temps) ; on n’hésite pas à utiliser l’anticipation et la rétrospection Et la répétition. il n’a pas de trajectoire.

Souvent figure de mort qui revient pour commenter, bcp de perso immobiles, les mises en scène contemporaine sont métaphoriques, nues, elles ne sont pas illustrées.

IV- Le Corps

Beckett corps ne va pas bien, malade, souvent difforme, usé, humilié, mutilé. Le corps contemporain peut être violent, sadique, volonté d’effrayé le public, souvent nu, corps = avatar du destin = porte tragique ; va souvent être contradiction avec discours (action dérisoire/ discours philosophique).

Tragédie théâtre contemporain = corps

Tragédie classique= esprit de l’homme.

Tragédie antique = Dieu

V- Genre et structure

Le narrateur s’accorde le droit de narrer, d’où l’importance des didascalies soit de leur absence. Contamination de la narration au théâtre romanisation du théâtre

= statut de l’acteur vague = perso ou joue son propre rôle ; on va avoir des personnages omniscient (point de vue du roman) complètement nouveau.

Phénomène de la choralité : echo entre les répliques des perso, comme sil y vait qu’une seule et unique parole.

L’usage de la ponctuation (chez certain il n’y en a plus du tout), chez Largarce il y en peu, pas de ponctuation habituel, ponctuation du soufle.

La plupart des pièce contemporaines sont des comédie et des tragédie.

VI- La place du spectateur.

Théâtre classique et antique le théâtre veut instruire et plaire, influencé spectateur, didactique, enseignement.

Théâtre du XXème théâtre idéologique

Après chute des idéologies, on a plus le souci des vraisemblances, pour être didactique, il faut être réaliste. Ce théâtre rappelle au spectateur, qu’il

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