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Résumé du texte de Karl Jaspers : Origines de la philosophie

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vie courante nous oublions ces aspects de notre existence et nous vivons des situations, de bonheur, de faiblesse, d’impuissance, qui agissent sur notre façon d’être. Comme la manière dont l’homme fait l’expérience de l’échec détermine ce qu’il va devenir, philosopher c’est toujours vaincre le monde ! Finalement, pour Jaspers, la valeur de cette marche vers la connaissance et la découverte de soi à notre époque dépendent de la communication entre les hommes. De plus en plus de gens se rencontrent et se quittent dans l’indifférence Mais comme personne, je n’existe qu’avec autrui ; seul je ne suis rien. Conclusion : dans cette partie nous retrouvons la thèse de l’auteur et un résumé des idées principales, si cela s’avère nécessaire. Ainsi pour l’auteur l’origine de l’acte de philosopher, son impulsion réside dans la faculté de s’étonner, de douter, de faire l’expérience des situations limites, mais en dernier lieu et incluant tout cela dans la volonté d’une communication véritable.

Résumé du texte de Karl Jaspers : Origines de la philosophie

Dans ce texte de Karl Jaspers intitulé «Origines de la philosophie» tiré du livre Introduction à la philosophie, l’auteur traite de l’impulsion à philosopher. Par cet écrit il cherche à expliquer ce qui amène, depuis toujours, les individus à faire de la philosophie. Il nous dit que c’est l’étonnement, le doute, l’expérience des situations limites et cela, dans une volonté de communication véritable. Ce qui amène les gens à philosopher selon Jaspers, c’est d’abord l’étonnement. Nous regardons l’univers qui nous entoure et nous sommes incités à le comprendre. On s’éveille ainsi à la connaissance en échappant aux liens de la nécessité vitale tout en prenant conscience de notre ignorance. On pose des questions pour lesquelles on se contente de réponses satisfaisantes. Suite à cette étape de l’étonnement surgit le doute. Des connaissances s’accumulent, mais pour peu qu’on se livre à un examen critique, plus rien n’est certain. Faire de la philosophie implique un doute radical pour saisir comment ce doute me permet de conquérir le fondement d’une certitude. Quand je m’étonne ou quand je doute, je ne pense pas à moi. Cela change lorsque je prends conscience moi-même dans ma situation. C’est alors que nous faisons l’expérience de notre propre faiblesse et de notre impuissance. Des choses sont en mon pouvoir, d’autres ne le sont pas. Je peux travailler sur mes représentations, mais il me faut mourir, souffrir, lutter ; je suis soumis au hasard. J’ai conscience de ces situations limites. Dans la vie courante nous oublions ces aspects de notre existence et nous vivons des situations, de bonheur, de faiblesse, d’impuissance, qui agissent sur notre façon d’être. Comme la manière dont l’homme fait l’expérience de l’échec détermine ce qu’il va devenir, philosopher c’est toujours vaincre le monde ! Finalement, pour Jaspers, la valeur de cette marche vers la connaissance et la découverte de soi à notre époque dépend de la communication entre les hommes. De plus en plus de gens se rencontrent et se quittent dans l’indifférence Mais comme personne, je n’existe qu’avec autrui ; seul je ne suis rien. Ainsi pour l’auteur l’origine de l’acte de philosopher

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