Heureux Qui Comme Ulysse De Joachim Dubellay

nous donne l'impression qu'il revient de loin, ou même qu'il a fait la guerre, et qu'il va enfin rentrer dans son pays et vivre avec ses parents. Le premier quatrain est une hyperbole.

Le poète dans cette partie se compare à des héros et exagère sa situation.

Le poète est nostalgique de son pays natal.

Du Bellay est en manque de son foyer. Dans le second quatrain le poète emploi une question rhétorique qui est : « Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison, Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? ». Le second quatrain montre qu'il est impatient de revoir son pays et qu'il est nostalgique.

Le poète fait l'éloge de sa France. Du Bellay compare la France à l'Italie dans le premier tercet, en ventant les mérites de son pays. « Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux, Que des palais Romains le front audacieux ». Dans le second tercet « Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin », le poète nous fait comprendre qu'il préfère la France à l'Italie. Il utilise une anaphore avec le mot ''plus'' qui est répété à chaque fois en début de vers dans le premier tercet.

Le poète appuie son lyrisme en s'appropriant les richesses de la France. Il utilise les pronoms possessifs ''mes'' dans le premier tercet « Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux » ; et ''mon'' dans le deuxième tercet « Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin ».

Dans cette dernière partie Du Bellay nous montre qu'il est nostalgique par l'utilisation d'une question rhétorique, par la façon dont il s'approprie la France.

Le poème « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, » est un sonnet qui nous montre la manière dont le poète se compare à des héros et nous montre qu'il est nostalgique de son pays en utilisant tout ces procédés de style. Le poète nous vend les mérites de la France, dont il est fier d'être originaire. On a l'impression qu'il regrette d'être parti en Italie.