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Juste La Fin Du Monde, Jean-Luc Lagarce

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on propre discours fragilité du discours puisqu’on revient toujours en arrière ; précision = lie les uns les autres, fonction phatique du langage. Monologue (=Longue réplique) de Catherine p12. Anticipe réaction de Louis, voix des autres inclues, en creux ds les discours, elle pense à sa place, parle à sa place, discours = toujours un échec.

Aposiopèse : suspendre le sens d’une phrase en laissant qqn d’autre la terminer/ compléter. « J’aime… ».

La réticence : figure de construction, qui consiste en un énoncé non achevé, mais dont le sens reste clair… On sait que l’autre sait, pas d’attente contrairement à l’aposiopèse.

La suspension : figure de style, consiste à mettre l’auditeur, dans l’attente impatiente que l’on veut annoncer mais pas encore dit.

Prétérition : consiste à parler de qqchose, après avoir annoncer que l’on ne va pas en parler.

Epanorthose : quand on se corrige. Consiste à prendre les devants.

Toutes ces figures de style, qu’on intègre d’innombrables discussions virtuelles, pour éviter le conflit d’éclater, ou retarder dans JLFDM Créer un sentiment d’urgence.

Musicalité de l’écriture

Renvois à une écriture rythmée, persos parlent mm langage = une voix= voix de l’auteur lui-même ; certains moment = choralité d’autant plus que ds Antiquité chœur ne participe pas à l’action mais la commente= JLFDM

Dialogues métalinguistique

Dialogue qui se commente lui-même. Ce qui fait avancer œuvre= point de vue des perso a avec sa propre parole.

Romanisation de l’œuvre

Théâtre ressemble au roman, procédés romanesque, présence de récit (Louis prend parole) Perte illusion théâtrale/ dramatique pour le spectateur, lecteur ; persos plus tout à fait fictif.

Tragédie antique = Dieu

La parabole du fils prodigue

Définition :Dans les Évangiles, le Christ délivre son enseignement spirituel en passant par des paraboles, récits qui utilisent des scènes quotidiennes bien connues de l’auditoire (renvois aux scènes pastorales ou agricoles, à la vie de famille, à l’exercice du pouvoir) mais dont le sens est allégorique. La Fontaine, dans la préface de ses Fables, rappelle que la parabole est liée au sacré mais, qu’à cette différence près, elle est très proche de l’apologue : « La parabole est-elle autre chose que l’Apologue, c’est-à-dire un exemple fabuleux, et qui s’insinue avec d’autant plus de facilité et d’effet, qu’il est plus commun et plus familier ? ». En fait, la parabole est une tentative pédagogique de rendre accessible une réalité par définition inaccessible. Elle serait une traduction du divin en langage humain. Elle répond aussi à l’intuition fondamentale hébraïque que l’humain est créé à « l’image de Dieu ».

Depuis le XXème siècle, c’est un rituel et le théâtre aime les rituels ; on peut s’interroger sur l’importance de cette figure depuis le XXème siècle, on la retrouve dans tous les genres (théâtre, cinéma…). Pourquoi ? Parce que c’est un thème familiale, les artistes s’identifie a la figure du fils prodigue : solitaire : homme prend cs de la singularité, au XXème siècle arrive les premières revendications (pour vivre par soi-même); rebelle.

Beaucoup de réécriture sur l’assujettissement des enfants par amour, & donc ds le théâtre contemporain les parents ont tendance à nier la particularité de leurs enfants, ds le théâtre contemporain être aimé= être méconnu.

Père= Dieu= abs chez Lagarce donc pardon impossible. Il est aîné donc modèle pour Antoine & Susanne mais il est parti alors déception

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