La condition des femmes en Iran

La condition des femmes en Iran

L’Iran est un pays du golfe persique, c’est une république islamique présidé par Hassan Rohani mais dirigé par l’ayatollah Ali Khamenei qui lui est le guide suprême de la révolution islamique de 1979 .

Qui dit république islamique dit charia, la loi iranienne s’inspire de la loi islamique pour son code pénal. Je vais commencer par vous parlez de 2 femmes qui sont actrices de la liberté des femmes en Iran.

Masih Alinejad est une militante, figure de la défense des droits de la femme en Iran. En 2014 elle lance la page Facebook my stealthy freedom qui prône le libre de choix de porter le vol ou non car oui comme vous devez surement le savoir le voile est obligatoire pour les femmes en Iran. « Tout a commencé un jour où j’ai posté une photo de moi dans les rues de New-York cheveux au vent. J’ai reçu beaucoup de commentaires d’Iraniennes qui exprimaient l’envie d’elles aussi pouvoir se balader sans voile. Je leur ai répondu, que tout le monde pouvait créer des moments furtifs de liberté. Je viens d’une famille plutôt conservatrice et j’ai moi-même eu de la difficulté à retirer mon foulard » je ne pas si ses mots vous choquent mais ne pas donner le droit à une femme de se vêtir comme elle le souhaite est une privation de liberté de base comme il en existe plein d’autre dans ce pays. En raison de son engament et de ses positions, Mahsi Alinejad est aujourd’hui menacée de mort et ne peut plus retourner en Iran. Elle vit en exil à New York. Je souligne cela car toutes iranienne ayant le courage de s’engager pour défendre leur cause sont immédiatement rechercher et doivent impérativement quitter le pays sous peine de lourdes sanction.

C’est ce qui est arrivé à Nasrin Sotoudeh une célèbre avocate iranienne condamné dernièrement a 10 de prison en plus des 5 ans qu’elle purge déjà depuis juin 2019 et 148 coup de fouets, rendez-vous compte en quelle année somme nous ? En 2020 un état condamne encore des individus au supplice extrême qui est le coup de fouets. Le plus inquiétant dans tous est la cause de cette condamnation, elle a été poursuivie pour « conspiration » et « propagande contre le système » politique de la République islamique, appartenance à une organisation de défense des droits humains interdite, participation à une campagne pour l'abolition progressive de la peine de mort en Iran ou encore « atteinte à l'ordre public ». Son seul tort a enfaite été de défendre des femmes qui ont enlevé leur foulard en public.

Inutile de vous rappeler que l’article l’article premier de la déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen qui stipule que «Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits » n’est absolument pas respecté en Iran car la constitution iranienne stipule

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