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Crise 2007 Compte Rendu (Eco)

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rte de vitesse des primes de risques. Notamment la mise en place d’un nouveau type de prêt à long terme, les « Subpirmes », octroyés à des familles peu solvables, afin qu’ils puissent fonder leur propre patrimoine. Ce sont des prêts dits hypothécaires, c’est à dire basés sur la valeur du bien et donc à des taux variables.

Mais une liquidité abondante c’est aussi est surtout un rendement obligataire faible pour les agents économiques et nécessairement une baisse générale des primes de risques pour les intermédiaires financiers. Afin de renouer avec les profits, ces derniers vont commencer à titriser ces subprimes sur les marchés, afin de mieux répartir les risques. Et pour faciliter la transparence d’information entre les différentes institutions financières, ces titres sont notés par des agences de notation style Moody’s. Les notes variant en fonction du risque supporté et donc le rendement qu’ils pouvaient en dégager. Et c’est de là que naît la « Bulle immobilière » à l’origine de la crise de 2007.

II. Krach immobilier 2007 : une mauvaise gestion du risque qui contamine tous les marchés.

En 2006, on assiste aux premières baisses de régime du prix des actifs immobiliers. Qui se soldera par la hausse des taux d’intérêts des prêts. En effet, puisqu’on parle ici de prêts hypothécaires, les intérêts sont calculés, les deux premières années à taux fixes et ensuite, pour les prochaines années, les taux sont calculés en fonction du prix du bien. Par conséquent, une baisse du prix de l’immobilier entraine nécessairement une augmentation des taux d’intérêts. Très vite, pour les ménages les plus démunis, les taux d’intérêts dépassent les loyers, et très vite, sont incapables de remboursés les préteurs.

A la suite de quoi, en Juillet 2007, les agences de notation abaissent la notre de plusieurs titres liés aux subprimes. Une baisse qui rend la revente difficile et donc oblige les investisseurs à brader les prix et quittés les fonds d’investissements au plus vite. Ce qui aura pour conséquence, une baisse global de la liquidité sur les marchés. Un comble quand on sait que la bulle immobilière est naît d’un excès de liquidité. C’est le krach de 2007.

Plusieurs familles sont délogés de chez eux car incapable de rembourser leur prêt. De nombreuses se retrouvent dans l’incapacité de revendre les logements ou dans le pire de cas se retrouvent à devoir déposer le bilan du fait de la pénurie de liquidité les banques, devenues dépendante des placements sur le marché.

Et globalisation oblige, c’est l’affolement sur tous les marchés mondiaux. On assiste à des baisses record à Wall Street, Londres, Francfort et même Paris. Tous les marchés sont touchés par cette crise de 2007, plus ou moins rapidement.

Ainsi, la dégradation de l’octroie des prêts par les banques, ainsi que la mauvaise gestion des risques sont le moteur de cet effondrement des marchés.

III. Solutions attendu à Wall Street.

La crise de 2007 est une crise purement humaine donc évitable.

L’un des grands problèmes de cette crise de 2007 aura été L’incapacité des banques à mesurer le risque pris. Elles ont sous estimé la vitesse à laquelle une crise de liquidités pouvait s’instaurer sur ces produits, rendant leur revente difficile. Elles n’ont pas su anticiper toutes les options.

Dans ce genre de situation, puisqu’il s’agit ici d’une pénurie de liquidités, la seule solution est la réinjection de liquidités sur le marché par les banques centrales. Actions qui peut être salutaire à court terme mais contre-productif à long terme car les acteurs de la finance, tenant pour acquises ce type d’intervention. On risquerait alors une nouvelle

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