Paul Eluard

is. Ce sont des gens sans visage qui se masquent : l’inconnu utilise la peur. Quand on ne connaît pas l’ennemi, on ne sait pas à qui s’en prendre : pouvoir sans limites, pouvoir masqué « disait » « désirait » « s’accabler de politesse » et au vers 15 : antithèse .

Vers 14 : hypocrisie « rationnait » donnait le strict minimum , « jugeaient les fous » impossible.

Accumulation de verbes d’actions, ce qui traduit l’étendue de leur pouvoir. Hypocrisie et abus de pouvoir. A ce quintile succède une strophe à une vers pour résumer et prendre position. Verbe « persévèrent » utilisé à contre-emplois, on passe de l’imparfait « ils ne sont pas de notre monde » , ce sont des monstres.

Vers long traduit la mort : ils ne sèment que de la mort et de la destruction . Image de la mort dépouillée, presque obsessionnelle arrive par des phrases possessif n, strophe 3 montre le peuple, image du vice : néant physique et morale + sonorité du « v ». Strophe 4 :« la mort cœur renversé « est une oxymore, « mort et cœur » exprime une expression de gâchis dû à la mort + image renversée fait penser au tableau de Picasso.

Strophe 10 : « rose rouge » et « sang » : mort qui a la couleur du sang image de rose rouge qui est normalement la passion .

Strophes 9-10 : espoir défait puis il n’y a pas d’avenir : impression de gâchis car le trésor se transforme en sang : la réalité de la mort . Cette réalité aboutit à la 11ème strophes . La fin revient de plus en plus à la réalité de la mort, une peur . Strophes 11 : il joue sur les antithèses . Thème de la mort s’agrandissant .

Strophe 12 , « hommes » en début de vers, impression de gâchis . Il rend hommage à un peuple qui a une identité. Strophe 13 mort de plus en plus présente. Il croit quand même en l’avenir + « espoir » image poétique avec le feu. Homme communiste qui à foi en l’homme + « bourgeon » avenir qui portera ses fruits.