En quoi la comédie Les fausses confidences de Marivaux n’est-elle que comique ?

D’emblée, le narrateur indique une dégradation de son lieu de vie car elle passe d’un lieu misérable a un autre qui l’est encore plus le champ lexical du logement misérable vient confirmer la pauvreté « se cellule » « une mansarde » « un galetas »

- Une énumération résume brièvement sont mobilier son mobilier (l.5-6) : le N. insiste sur le fait qu’elle a peu de chose, et que ces chose sont en piteux état, le préfixe privatif dans l’adj. « dépaillée » accentue la misère ; la négation partielle « elle n’avait plus de lit » montre encore une fois une dégradation de sa situation

- Le champ lexical du froid accentue l’insalubrité du lieu « gelait » « l’hiver » (L.7) et « glace » (L.8) cela annonce le mauvais état de santé de F

- L’étroitesse du lieu est souligné par la mention des deux seul coins de la piece « dans un coin {…} dans l’autre coin » (L.7)

- L’anecdote du petit rosier (L.7) avec le participe passé «oublié » mis en valeur a la fin de la phrase et isolé par la virgule, achève de donner du lieu un aspect pathétique et rappelle F. une jeune femme qui s’est enlaidit car elle a été abandonnée par la société

En effet, ce premier mouvement de texte de texte décrit la déchéance physique de la jeune femme :

- La phrase simple et brève qui ouvre l’extrait « fantine jeta son miroir par la fenêtre » symbolise le renoncement de F. a elle-même . l’emplois du passé simple met en lumière la rapidité de son geste et indique une situation de non-retour

- Ce renoncement « elle avait perdu la honte, elle perdit la coquetterie » (L.9) : elle abandonne sa féminité et elle se déshumanise en perdant toute fierté

- On retrouve une négation partielle « elle ne raccommodait plus sont linge » (L.10) qui souligne encore une fois une dégradation de sa situation :

- Enfin le champ lexical du haillon vient confirmer son enlaidissement…

La situation de fantine est d’autant plus pathétique qu’elle est banale : fantine n’est qu’une figure misérables permit d’autre

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