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ire de faire confiance à ses cinq sens. Pour lui et pour son entourage, l'évidence c'est-à-dire les cinq sens étaient La Science, La Vérité. Ici par la non méfiance, la conscience humaine se sent en sécurité cependant dans ce cas il est possible de nuancer en disant que cette attitude apporte un certain danger. Car, certes, même si la confiance rassure, elle ouvre le pas vers l'illusion. Ici, la conséquence est que l'être humain est en doute.

L'évidence apparaît donc comme multiple: elle peut rassurer ou amener la confiance à l'être humain, cependant parfois la conscience doute.

Il apparaît donc que suivre l’évidence amène à plusieurs cas possibles : soit celle-ci apporte confiance et donc il n’y a aucun danger, soit elle correspond à la conscience morale, soit elle permet d’être en sécurité mais apporte un certain doute, un certain danger. Il est donc important de se méfier de l’évidence pour de nombreuses raisons : oui, il faut se méfier de l’évidence étant donné que l’évidence est ce qui apparaît comme flagrant, ce qui apparaît en premier lieu. L’évidence est donc une réalité sans grande réflexion au préalable. L’être humain est donc amené à se méfier c’est à dire à regarder d’un œil critique, cette évidence. La méfiance permet à la conscience humaine de se rendre compte des réalités loin des évidences du « premier abord ». ici la conséquence est que la méfiance aide à ne pas se tromper.

l’évidence amène à toutes sortes de dangers. Certes il est vrai que celle-ci apporte sécurité à l’être humain mais il est important de regarder cette réalité avec un œil critique. En cherchant à nous méfier, nous nous rendons compte que l’évidence amène le regard souvent à se tromper. Par exemple certains individus vivent la religion de façon extrême cette religion est un besoin de l’être humain qui se veut protégé et aimé et qu’il s’agit d’une illusion. Ici l’évidence apparaît donc discutable et la conscience humaine se rend compte qu’il est difficile de croire l’évidence. Descartes a voulu remettre en questions son savoir, les réalités supposées vérités de son temps. Ainsi le doute sera sa première vérités incontestable. Avec cette méthode il établira l’existence d’un certain nombre de réalités comme Dieu, les mathématiques, le monde physique. Ainsi il est possible de dire que le doute amène l’individu à se poser des questions : il remettra alors en question l’importance de l’évidence. Ici la conscience humaine ne se trompe pas.

Nous nous sommes rendu compte par la méfiance, la conscience humaine ne s’égare pas. Au contraire, la méfiance n’apporte que de l’aspect positif à la réflexion de l’être humain. Celle-ci pousse donc à voir plus loin que le premier abord que la façade que l’a priori que l’évidence. Ainsi cette méfiance elle amène l’esprit à tendre vers la recherche qui elle tend vers le progrès.

Ainsi le fait de se méfier de l’évidence est la racine même du progrès. De par la recherche l’être humain trouve. Il fait des découvertes important pour l’Humanité d’où l’idée de progression et de lutte contre l’illusion. Aujourd’hui des avancées en médecine sont spectaculaires comme les opérations de chirurgie lourde notamment dans le domaine de la neurologie où des manipulations directes du cerveau sont possibles. D’autres avancées au niveau cardiaque se précisent comme avec les greffes de cœur où encore la manipulation de la chimie. C’est ainsi que Hegel pousse l’Humanité vers le progrès général, et prône ainsi les bienfaits du travail. Ce travail qui trouve sa source dans le combat contre l’évidence, qui trouve ses racines dans la volonté remarquable de l’être humain à vouloir passer outre l’évidence et regarder le fond des problèmes à travailler sans cesse pour le bien de l’Humanité. La conséquence philosophique est que l’être humain, pour progresser, a du passer par cette réflexion de la nécessité de se méfier de l’évidence pour ensuite tendre vers d’autres réflexions.

Ainsi nous avons vu que l’être humain par la question « Faut-il se méfier de l’évidence » a pris goût à la méfiance donc à la recherche et au progrès mais tout cela montre que plus l’être humain se méfie, plus il découvre des réalités inconsidérées jusqu’à présent. Ainsi l’être humain prend goût au savoir c’est à dire la Sofia et devient amoureux de la Sofia : il devient philosophe. Par la méfiance de l’évidence, de l’illusion, le philosophe

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