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La Chambre Des Officiers Fiche De Lecture

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i vient s’enfoncer sous la bas de mon nez. Puis on coupe la lumière ».

6) Où le narrateur se réveille-t-il après l’accident? Combien de temps après l’accident a lieu le réveil?

Adrien se réveil sans doute dans un hôpital se situant non loin de « l’avant », il nous est pas clairement dit l’emplacement de son réveil, mais un brancardier utilisant un déictique de lieu nous indique environ où il se réveil « on ne peut quand même pas le laisser dans une salle commun pour sa dernière nuit à l’avant. » (p.35) Par Contre, (p.32) il est dit qu’il a été « découvert il y a six jours, et il semble qu’il agonisait sur les lieux depuis au moins deux jours. »

7) a. Qui est Alain Bonnard? Pourquoi, au début du roman, n’est-il pas envoyé au Front ?

Alain Bonnard est un ami d’Adrien « mon plus vieux camarade. De l’école primaire jusqu’au service militaire, nous nous sommes jamais quittés ». Au début de ce roman, Alain n’est pas envoyé au front à cause de son handicap « Bonnard était né avec une petit main. Ses doigts de la main droite étaient restés ceux d’un enfant de huit ans »

b. Le narrateur dit, plus tard dans le roman : « l’hiver 1916 fut un hiver de trop ».

Expliquez pourquoi il écrit cette phrase.

(P.114) Adrien écrit ceci car jusque là, il n’avait « jamais douté de cette guerre », mais après réception de la lettre de sa mère lui annonçant que son ami, son plus veille ami Bonnard est mort, Adrien ne crois plus en cette guerre qu’il juge à présent « absurde » et dénué de sens, car cette dernière lui a arraché son seul espoir d’un futur quelque peu normal, c’est-à-dire que la présence de son ami lui aurait fait accepter le regarde des autres. Mais « cette guerre ne respectait rien; elle avait emporté Bonnard ».

8)Quelle particularité présente la pièce appelée «chambre des officiers» pourquoi?

La chambre des officiers est comme son nom l’indique, réservée au officiers, et pas n’importe qu’elle officiers, seulement ceux défiguré « Dans votre salle, y vont mettre que des esquintés de la trogne … , que des officiers défigurés ». De plus, « l’ouvrier qui s’affaire au-dessus de chaque lit », ôte tous les miroirs de cette salle « ils m’ont demandé d’ôter tous les miroirs. Vous comprenez, y aurait des mauvaises surprises ». (p.41)

9) Au début de son hospitalisation, quelle personnalité rend visite au narrateur?

(p.52) Adrien pour la première fois se lève « je me lève pour la première fois, ma démarche est hésitante », il se penche sur ses nouveaux compagnons de chambre encore inanimés. Lorsque soudain « le médecin entre le premier, suivit du médecin général, de deux officiers d’état-major qui ouvrent la voie au ministre de guerre.»

10) Comment réagit le narrateur lorsqu’il aperçoit, pour la première fois, le reflet de son visage sur la vitre de la fenêtre?

(p.60) Lorsque Adrien aperçoit sont reflet dans la fenêtre pour la première fois, il n’est pas affecté, il n’arrive déjà plus à cerner le réel de l’irréel, comme il le dis « Ce reflet irréel et pourtant vrai ne m’affecte pas; je m’étonne de ne pas avoir envie de pleurer ni de ressentir la moindre angoisse ». Mais son corps lui n’interprète pas les chose de la même manière et aussi tôt « mon estomac se met a vomir sur la couverture emprunté ».

11) Que mange le narrateur pendant son hospitalisation? comment?

(p.36) Pendant son premier repas conscient sur l’hôpital du front on lui sert de la soupe qui est introduite par un tube passant par son nez « Mon premier repas conscient m’est servi par un tube de caoutchouc surmonté d’un petit récipient qui contient la soupe ». Ensuite (p.57) à l’hôpital du Val de grâce on lui sert « la soupe de légumes broyés qu’on m’entube jour après jour ».

12) Quel acte le narrateur envisage-t-il alors de faire?

(p.64) Alain envisage alors de se suicider, il a perdu tout espoir, pour lui « on est sur le point de perdre la guerre » de plus Constance le repousse « merci de me laisser à mes devoirs » donc il se lève, ouvre son placard et se saisit de son pistolet « Mon pistolet est bien là, dans son étui. Erreur administrative : il aurait dû être consigné » Mais au moment propre de l’acte, il se rend compte qu’en allant au bout de son acte, il rendrai un fière service aux allemands en terminant leur travaille « je suis en train de terminer un travail commencé par les Allemands ».

13) Comment se nomment les deux amis du narrateur durant son hospitalisation ?

Recopiez la bonne réponse.

Jacques de Harield - Henri de Penanster - Guillaume de Nassau - Pierre Weil - Gérard de Mainland - Peter Garett - Louis de Bartas - Frédéric de Loustier.

(p.66) Durant son hospitalisation Adrien a deux amis, dont Pierre Weil, ce dernier est aussi une « gueule cassée », effectivement, il se trouve lui aussi dans la chambre des officiers «Pierre Weil, le pilote brûlé». Ainsi que Henri Penanster (p.65) un « capitaine de cavalerie » tombé lors d’un offensive matinale dans l’Argonne.

14) Qui loge dans la petite chambre proche de la chambre des officiers? De qui s’agit-il ?

Dans la chambre près de celle des officiers, loge une femme (p.85). Cette dernière se nomme « Marguerite » , s’étant porté volontaire, elle fut « affectée à un hôpital de l’arrière » avant de « persuader une officier » de l’envoyer dans une antenne de secours à l’avant. Lors de son quatrième jour « un obus allemand tomba sur la grande tente […] Marguerite fut défigurée et sourde ».

15) a. Louis Levauchelle est un blessé de la « chambre des officiers ». Comment se déroule la visite que lui rend sa femme et ses deux fils ? Racontez brièvement.

Lors de cette visite, le fils ainé de Louis Lavauchelle s’enfui en courant dans le couloir ne reconnaissant pas son père « pas mon papa […] » Ainsi que sa femme qui ne supporte sans doute pas cette image de son mari et s’empresse de partir en « lui promettant de revenir quand il serait : Plus en état »

b. Que découvre le narrateur le lendemain ?

N’ayant sans aucun doute supporté cette révulsion de ses proches à son égare, Louis Levauchelle décide de se « donner la mort ». Ce que découvre Adrien Faucher le lendemain matin « le sang répandu ».

16) Le narrateur dit : « Même avent mes opérations les plus graves, je n’ai jamais ressenti une telle détresse, un tel vertige. C’était comme si on me demandait de traverser Paris de toit en toit ».

A) quel occasion ressent-il cela ? /1

Suite à la demande de Weil de « sortir pour le 14 juillet », notre narrateur ressent un grand stresse, celui de se monter en publique, celui de sortir de leurs monde que les 3 protagonistes s’étaient forgés pour se protéger des blessures du passé et des pensées du futur.

17) Quelles sont les deux visites successive que reçoit le narrateur en 1917 ? /1

Notre héro reçoit deux visites successives, celle de sa sœur « Votre sœur, elle s’est présentée au poste de garde », elle ne le rejette pas, mais pleure et finalement ils se mettent à discuter longuement « d’elle, de l’adolescente que j’avais quitté et de la femme que je venais de retrouver »; « rappelé nos querelles d’enfants » avant son départ. S’ensuit la venue de sa mère « quelques semaine plus tard » qui se déroule à merveille, elle « était incapable de donnes aux événements la moindre intensité dramatique ».

18) le narrateur quitte l’hôpital en 1919.

a. Chez qui s’installe-t-il tout d’abord? /1

Le narrateur s’installe chez son oncle « mon oncle aimait que sa maison fut rempli » (p.136) « A Nogent ».

b. A quel événement historique assiste-t-il quelques temps après?

Quel personnage historique lui serre la main ? /1

Adrien assiste à la « signature du traité de paix »; « à Versailles » le 28 juin 1919 en tant que témoignage vivant « Je veux qu‘ils voient, et qu‘ils sachent. » C’est ainsi que « le président « Clémenceau » lui serra la « main ».

19) Lorsqu’il se rend à un concert, pour entendre le Requiem de Fauré, qui le narrateur rencontre-t-il ? /1

(p.141) Tout d’abord il rencontre un ancien compagnon de chambre « je reconnus mon voisin … Nous avions partagé la même chambre pendant l’été 17 ». Et soudain il aperçoit Clémence « elle était là » il la suivit jusqu’à chez elle « je connaissais désormais son

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