Développement de l'unité commerciale

ir (la réalisation personnelle)

Ce modèle permet à un manager d’identifier ce qui motive un salarié, un collaborateur. En satisfaisant leur besoin de sécurité en augmentant les salaires, en jouant sur les conditions de travail. Il pourra également jouer sur le désir de socialisation en assurant un bon climat au sein de l’équipe. Pour l’estime de soi, il pourra donner des signes de reconnaissances pour leurs compétences et la qualité du travail fourni. Et enfin pour les aspirations personnelles, il les aidera en leur offrant par exemple des occasions d’évoluer.

Cette pyramide est également utilisée dans le domaine du marketing. »Il est communément admis que les besoins des consommateurs se situent au sommet de la pyramide. Mais « elle ne permet pas, à elle seule, de décrypter la multitude des comportements des consommateurs »

Cet article fait référence à la fois au management et au marketing.

Source : Management

Le marketing tactile

Le marketing tactile est l’un des éléments du marketing sensoriel. Il utilise le toucher « afin d’optimiser les ventes d’un produit ou d’un service ». Les professionnels du marketing l’on compris en utilisant ce sens dans leur campagne de publicité et de communication, car le client a besoin de toucher le produit, « de le prendre en main afin de se forger une idée précise sur sa qualité ». Comment par exemple sur les marchés les consommateurs palpe les fruits ou légumes pour savoir si ils sont mûrs … Ils achèteront les produits dont ils sont satisfaits. Les industriels ont compris l’essor de ce sens, c’est pourquoi aujourd’hui, ils recherchent « des formes, des textures et des matières répondant aux demandes actuelles des consommateurs. » Comme le cachemire, par exemple qui est très en vogue en ce moment.

Le produit et sa texture ou matière doivent être en parfaite adéquation. « Toucher un produit renseigne le consommateur sur ses qualités et fonctions. »

« Sur un marché saturé caractérisé par une explosion de l’offre, le marketing tactile peut être un moyen de différencier ses produits et donc d’optimiser ses ventes. »

Le marketing tactile s’applique également au domaine du service, pour les hôtels par exemple, le faite que les draps soit « doux » et l’oreiller « moelleux », le client sera satisfait de son séjour et cela lui donnera peut-être au client l’envie de revenir.

Aujourd’hui tous les sens sont utilisés dans les campagnes de communication et les professionnels n’ont pas intérêt de négliger le toucher car ce sens permet d’optimiser les ventes d’un produit ou d’un service. « Cela apporte à ce produit ou à ce service une forte valeur ajoutée. »

Cet article fait référence à une forme de marketing très en vogue qui est le marketing tactile.

Source : http://www.netpme.fr/marketing/715-marketing-tactile.html

Pepsis et Orangina font camion commun

Le chauffeur du camion de 7 tonnes de Pepsi doit désormais compléter son chargement avec les palettes de Orangina et Rik Rok. On peut appeler cela du « cocamionnage ».Cette mutualisation de 3 marques concurrentes à révolutionner le monde de la logistique.

Pour compenser la hausse brutale des coûts de fret qui se chiffrent chez pepsico en dizaine de millions par an et également pour réduire leur impact écologique de leur supplain chain, il mutualisent leurs approvisionnement avec d’autre marques.

Qui dit mutualisation du transport dit échanges d’informations jusqu’ici confidentielles (sur les volumes que chaque marque livre aux GMS et aux réseaux de restauration jour par jour). PepsiCo s’est rapproché d’Orangina et Rik Rok car les boissons sont embouteillées proximités de siennes. PepsiCo a confié la gestion des flux de marchandises à Generix, éditeur de logiciel spécialisé dans la logistique. « Cela garantit la confidentialité des données mise en commun et l’optimisation du chargement ».L’autre avantage du « cocamionnage » oblige les entreprise à planifier leur tournées. L’Américain songe à mutualiser les flux de marchandises en aval, entre les grandes surfaces. « Le camion qui fait la tournée des différents site d’embouteillage ne livrerait plus l’entrepôt d’un seul distributeur mais une plate-forme partagée par plusieurs enseigne. »

Cet article fait référence à la logistique.

Source : Management.

Alter ego lance une gamme de produit équitable en France.

Alter ego (une marque bien connue dans le secteur du commerce équitable) a réussit à prendre en compte simultanément les 3 piliers du développement durable à savoir :

• économique

• social/sociétal

• environnemental

En lançant une gamme de lentilles vertes, des pois cassés et des haricots blancs… La base du commerce équitable « consiste à rémunérer correctement les producteurs tout en leur assurant des revenus suffisamment stables dans le temps pour leur permettre d’investir dans leur exploitation. » Hors ce système ne s’applique que pour les pays du Sud, c’est là qu’Alter ego se démarque de ses concurrents en appliquant ce système aux producteurs Français ce qui permet d’avoir un modèle d’agriculture plus durable et également respectueux non seulement de l’environnement, mais également des hommes pour leur permettre de gagner décemment leur vie grâce à leur travail. Les produits de la nouvelle gamme d’alter ego été choisis pour leurs qualités nutritionnelles et gustatives. « Ils sont cultivés selon un cahier des charges précis et transitent par une coopérative régionale qui fonctionne de façon démocratique. »

L’origine des produits est mise en avant mais alter ego va plus loin en affichant la photo du producteur sur les packaging.

Alter ego lance ainsi une offre avec des produits de qualité, de goût, d’une réelle valeur nutritive et de plus qui contribue à l’économie locale et à la protection de l’environnement.

Cet article fait référence à la mercatique, il s’agit du commerce équitable qui cette fois ci s’applique à la France et non plus seulement au pays du Sud.

Source : http://www.marketingdurable.net/alter-eco-lance-une-gamme-equitable-produite-en-france

Starbucks gomme son nom pour élargir sa carte.

Début mars, le géant américain gomme la mention « Starbucks coffee », seule la sirène, emblème du groupe reste. Le défi pour le leader mondial du « coffee shops » est de rester identifiable par les consommateurs. Howard Shultz, fondateur du groupe, est à l’origine de ce « relooking ». Pour lui le terme « coffee » devenait gênant du faite que le groupe est en pleine diversification. L’enseigne a commencé à commercialiser des pots de glace à la vanille et des boissons fraîches dans les supermarchés Américain, hors le groupe c’est rendu compte que la mention « coffee » sur les emballages pouvait créer de la confusion chez les clients. Cette suppression de lettres favorisera l’expansion de la marque