Les Evasions Des Camps Nazis

novembre 1944, l'Allemand Kaspar Bachl, travaillant lui aussi dans un camp annexe de Mauthausen, parvient à s'évader avec l'aide de sa femme, il est hébergé jusqu'à la fin de la guerre à Fuschl chez des antinazis.

Mais malheureusement la population n’est toujours aussi génereuse avec les détenus les dénonce ou parfois même les tue comme le 5 avril 1942 où 3 éspagnoles parviennent à s’évader du camp de Vöcklabuck, en partie grace a une jeune fille qui leur procure des cisaille. Une fois en montagne ils rencontrent un garde forestier qui tire sur eux.

Mais toutes ces évasions viennent de camps annexes à Mauthausen et la plus grande tentative d’évasion vient du camp principal :

Dans la nuit du 2 au 3 février 1945, un groupe d’officiers soviétiques organisèrent une évasion car ils étaient voués à une mort prochaine. Tous étaient dans le block 20, en pleine nuit, un SS vint pour faire sortir tout le monde pour une brimade brutale comme cela leur arrivé souvent. En l’espace d’un éclair les détenus allèerent étrangler le chef de block et ses acolytes, ensuite deux groupe se formèrent pour aller les miradors et aveugler les sentinelles avec des extincteurs à mousse et s’emparèrent des mitrailleuses. Pendant ce temps, d'autres jetaient des couvertures sur les barbelés électrifiés et, grâce à cet isolant, commençaient à franchir la redoutable clôture.

Seuls quatorze des 400 détenus furent tués au cours de l'opération. Les autres se dispersèrent dans la campagne où, pour se procurer des armes, ils attaquèrent un poste de défense antiaérienne. C’est après que le malheur arriva : une énorme chasse a l’homme fut organisé pour retrouver les évadés, tous les SS et les chiens furent envoyés a travers la région et pendant deux jours plus de 300 cadavres défigurés étaient ramenés au camp. Sur 400 détenus seuls 17 n’ont pas été retouvés quant aux autres, ils furent tous exécutés.

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Photo prise le jour de la libération du camp Des détenus de Mauthausen

Evasion du fort de Queuleu a Metz :

Le fort de Queuleu, ou Feste Goeben[], est un fort militaire de la première ceinture fortifiée de Metz et construit entre 1868 et 1870. Il bénéficie de renforcements importants après 1895 et sert de camp d’internement nazi durant la Seconde Guerre mondiale. Ce camp n’est pas un camp de concentration mais un camp d’interrogatoire où ils étaient souvent torturés. A la fin de la période de l’interrogatoire, les hommes étaient transférés au camp de Struthof et les femmes au camp de Schirmeck. Les conditions de vie dans ces camps sont atroces, en effet , les yeux bandés et les pieds et les mains liées, ils doivent rester assis sur un banc toute la journée a partir de 6h sans bouger sous peine de coups de fouets. Cependant quelques détenus sont affectés aux tâches du camps de 4h du matin jusqu'à minuit, on appelle cela le Strafkommando.

C’est lors de ces tâches qu’eux lieu la seule évasion du fort de queuleu où quatre