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Les voyages en littérature

Fiche : Les voyages en littérature. Rechercher de 53 000+ Dissertation Gratuites et Mémoires

Par   •  14 Août 2019  •  Fiche  •  896 Mots (4 Pages)  •  485 Vues

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Jean de la Fontaine est un fabuliste, moraliste et romancier français du XVIIème siècle. Il commence à écrire ses fables en 1668. Une fable est un récit en vers d’où l’on tire une morale. Les fables de La Fontaine ont des tournures critiques pour dénoncer les mœurs de l’époque. Le gland et la citrouille est paru en 1678 dans le 4ème recueil de fables de La Fontaine. Cette fable est différente de celles qui mettent en scène des animaux étant donné qu’elle tourne autour d’un personnage et du narrateur. Comment par l’aspect comique de la fable Jean de La Fontaine critique la religion et nous donne une leçon de morale. Nous verrons tout d’abord comment cette fable est une farce par son aspect comique puis comment Jean de La Fontaine se sert de cet aspect comique pour critiquer la religion et nous donner une leçon de philosophie.

Blaise Cendras est un écrivain, poète français d’origine suisse né en 1887. C’est à vingt ans qu’il vient en France pour se faire naturaliser. Il publie son premier poème en 1911. Moravagine est publié en 1926. En 1956, Blaise Cendras a complété son roman en publiant le livre : « pro domo : comment j’ai écrit Moravagine ». Dans l’extrait présenté, nous nous poserons comme question comment une longue expédition en pirogue sur une rivière de la forêt équatoriale dans des conditions climatiques extrêmes peut changer la perception de l’humain et aller jusqu’à la folie.  Tout d’abord nous verrons les conditions du long voyage puis la souffrance endurée par les personnages et enfin comment tout ceci peut mener à la folie.

Les conditions climatiques endurées par ces hommes qui n’ont pas l’habitude, leur souffrance est automatiquement très importante. La chaleur dont parle le narrateur dès la ligne 3 « il faisait une chaleur d’étuve », mais le pire semble être le soleil. Les coups de soleil étaient tellement importants que leur souffrance est intense, comme on peut le lire à la ligne 7 « nos visages étaient tellement racornis ». L’accumulation des expressions à la ligne 9 accentue encore plus cet aspect de souffrance « nous comprimait le crâne, nous meurtrissait et nous déformait le cerveau ». De plus leur souffrance est continue, dès que leur peau s’est régénérée, ils subissent de nouveaux coups de soleil et leur souffrance continue comme on peut le voir à la ligne 8 « et ce masque nouveau qui nous collait au visage, qui se rétrécissait ».

Dans les pensées d’un biologiste de Jean Rostand, l’image de l’homme est plutôt réaliste. L’homme qui a tant découvert dans le monde comme à la ligne 6 « demain, il libèrera l’énergie intra-atomique, il voyagera dans les espaces interplanétaires », et quand l’homme regarde ses origines dès la ligne 4 « le petit-fils de poisson, cet arrière-neveu de limace », l’homme est alors satisfait de lui-même vu son avancé comme on peut le voir à la ligne 5 « à droit à quelque orgueil de parvenu », mais aussi à la ligne 10 « sa réussite a de quoi lui tourner un peu la tête ». On pourrait penser de l’homme en lisant ce texte surtout au début du texte a la ligne 5 « Jusqu’où n’ira-t-il pas dans sa maitrise des forces matérielles ? Quel secret ne dérobera-t-il pas à la nature » que l’homme est inarrêtable. Cependant à l’aide de ces inventions comme à la ligne 9 « qu’il situe son royaume dérisoire parmi les astres sans nombre que lui révèlent ses télescopes » ou quand L’homme compare son histoire avec le passé a la ligne 14 l’espèce humaine passera comme ont passé les dinosaures et les stégosaure » on comprend que les humains ne sont qu une simple espèce qui finiras par disparaitre un jour comme les autres malgré son progrès.

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