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oi dont l'aile hésite et brille,

Dont l'oeil est noyé de douceur,

Qu'es-tu, passant? -- Je suis ta soeur

-- Et toi, qu'es-tu? -- Je suis ta fille.

-- Et toi, qu'es-tu, passant? -- Je suis

Celle à qui tu disais: «Je t'aime!»

-- Et toi? -- Je suis ton âme même.

Oh! cachez-moi, profondes nuits!

choix du poème :

j’ai choisi ce poème car ces paroles sont douces et profondes. Victor Hugo pense beaucoup a sa famille, il a écrit plusieurs poème qui en parle et c’est ce qui me touche lorsque je lis ce poème.

Les femmes sont sur la terre

Pour tout idéaliser;

L'univers est un mystère

Que commente leur baiser.

C'est l'amour qui, pour ceinture,

A l'onde et le firmament,

Et dont toute la nature,

N'est, au fond, que l'ornement.

Tout ce qui brille, offre à l'âme

Son parfum ou sa couleur;

Si Dieu n'avait fait la femme,

Il n'aurait pas fait la fleur.

A quoi bon vos étincelles,

Bleus saphirs, sans les yeux doux?

Les diamants, sans les belles,

Ne sont plus que des cailloux;

Et, dans les charmilles vertes,

Les roses dorment debout,

Et sont des bouches ouvertes

Pour ne rien dire du tout.

Tout objet qui charme ou rêve

Tient des femmes sa clarté;

La perle blanche, sans Ève,

Sans toi, ma fière beauté,

Ressemblant, tout enlaidie,

A mon amour qui te fuit,

N'est plus que la maladie

D'une bête dans la nuit.

Choix du poème :

j’ai choisi ce poème car ce qui est dis sur la femme est très touchant. Ici, elle décrite comme étant indispensable a la vie humaine, ce qui vrai. Les comparaison qui sont fait dans ce poème et le placement des rimes croisées sont très réussi.

J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline.

Dans l'âpre escarpement qui sur le flot s'incline,

Que l'aigle connaît seul et peut seul approcher,

Paisible, elle croissait aux fentes du rocher.

L'ombre baignait les flancs du morne promontoire

Je voyais, comme on dresse au lieu d'une

victoire Un grand arc de triomphe éclatant et vermeil,

A l'endroit où s'était englouti le soleil,

La sombre nuit bâtir un porche de nuées.

Des voiles s'enfuyaient, au loin diminuées

Quelques toits, s'éclairant au fond d'un entonnoir,

Semblaient craindre de luire et de se laisser voir.

J'ai cueilli cette fleur pour toi, ma bien-aimée.

Elle est pâle et n'a pas de corolle embaumée.

Sa racine n'a pris sur la crête des monts

Que l'amère senteur des glauques goëmons;

Moi, j'ai dit: «Pauvre fleur, du haut de cette cime,

Tu devais t'en aller dans cet immense abîme

Où l'algue et le nuage et les voiles s'en vont.

Va mourir sur un coeur, abîme plus profond.

Fane-toi sur ce sein en qui palpite un monde.

Le ciel, qui te créa pour t'effeuiller dans l'onde,

Te fit pour l'océan, je te donne à l'amour.»

Le vent mêlait les flots; il ne restait du jour

Qu'une vague lueur, lentement effacée.

Oh! comme j'étais triste au fond de ma pensée

Tandis que je songeais, et que le gouffre noir

M'entrait dans l'âme avec tous les frissons du soir!

choix du poème :

J’ai choisi ce poème car la description de la fleur est très détaillé et réussi. Les paroles utilisé pour la description sont profond. Le fait qu’il veut offrir cette fleur a ca bien aimé ma touché et ému. Les rimes suivie sont bien placé.

II- 15 Février 1843

Aime celui qui t'aime, et sois heureuse en lui.

-- Adieu! -- sois son trésor, ô toi qui fus le nôtre!

Va, mon enfant béni, d'une famille à l'autre.

Emporte le bonheur et laisse-nous l'ennui!

Ici, l'on te retient; là-bas, on te désire.

Fille, épouse, ange, enfant, fais ton double devoir.

Donne-nous un regret, donne-leur un espoir,

Sors avec une larme! entre avec un sourire!

choix du poème :

j’ai choisi ce poème car il est touchant. Les paroles utilisés sont douces et profondes et nous font réfléchir et rêver. Dans ce poème il a de l’amour et de la tristesse. Je pense que ces paroles sont adressées à une femme qui doit se marier et qui doit laisser sa famille pour en rejoindre une autre. Les rimes sont embrassées.

Pure Innocence! Vertu sainte!

O les deux sommets d'ici-bas!

Où croissent, sans ombre et sans crainte,

Les deux palmes des deux combats!

Palme du combat Ignorance!

Palme du combat Vérité!

L'âme, à travers sa transparence,

Voit trembler leur double clarté.

Innocence! Vertu! sublimes

Même pour l'oeil mort du méchant!

On voit dans l'azur ces deux cimes,

L'une au levant, l'autre au couchant.

Elles guident la nef qui sombre;

L'une est phare, et l'autre est flambeau;

L'une a le berceau dans son ombre,

L'autre en son ombre a le tombeau.

C'est sous la terre infortunée

Que commence, obscure à nos yeux,

La ligne de la destinée;

Elles l'achèvent dans les cieux.

Elle montrent, malgré les voiles

Et l'ombre du fatal milieu,

Nos âmes touchant les étoiles

Et la candeur mêlée au bleu.

Elles éclairent les problèmes;

Elles disent le lendemain;

Elles sont les blancheurs suprêmes

De tout le sombre gouffre humain.

L'archange effleure de son aile

Ce faîte où Jéhovah s'assied;

Et sur cette neige éternelle

On voit l'empreinte d'un seul pied.

Cette trace qui nous enseigne,

Ce pied blanc, ce pied fait de jour,

Ce pied rose, hélas! car il saigne,

Ce pied nu, c'est le tien, amour!

VI

Quand nous habitions tous ensemble

Sur nos collines d'autrefois,

Où l'eau court,

...

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